1. Changement 3


    Datte: 10/04/2019, Catégories: ff, grosseins, fépilée, rasage, magasin, Auteur: Anne-marie, Source: Revebebe

    ... impression visuelle d’ensemble et pas seulement de cet endroit intime. Aïcha m’aida à me relever, elle semblait fière de son travail.
    
    — Vous allez voir, c’est superbe.
    
    J’eus une première impression favorable, le haut des cuisses débarrassé de cet amas de poils sombres, la peau lisse. En m’approchant, je trouvais moins joli les petites lèvres flasques qui pendaient comme de petites crêtes de poule. Le clitoris avait eu le bon goût de reprendre une forme moins provocante, mais le capuchon très long laissait deviner sa taille. Je voyais Aïcha dans la pénombre de la pièce, elle me regardait intensément.
    
    — Votre sexe est beaucoup plus joli comme ça. Vos lèvres sont superbes et vous verrez, les sensations sont merveilleuses.
    
    J’avais déjà eu une petite idée de ces sensations et j’en étais persuadée.
    
    Elle avait gardé sa blouse ouverte et l’un de ses seins avait quitté le bonnet trop petit du soutien-gorge. L’aréole brune et large était tout exposée et, autour de la petite pointe, on voyait la peau fripée du sein excité. Elle était plus ronde que je ne l’avais gardée dans mon souvenir. Elle était souriante et appétissante. J’imaginais un instant Sigrid à côté d’elle, laquelle paraîtrait encore plus mince ou ...
    ... encore plus ronde ?
    
    — Je vous conseille de ne pas remettre vos bas ni même votre culotte. C’est une première et cela pourrait vous irriter.
    
    Elle me tendit une petite fiole d’huile jaunâtre.
    
    — Je vous conseille de bien en passer partout ce soir avant de vous coucher.
    
    Je n’avais pas très envie de la quitter, mais je remis mon soutien-gorge et ma robe en m’assurant quand même que je restais décente.
    
    Aïcha avait refermé sa blouse, je l’avais regardée ranger son sein dans le bonnet.
    
    — Ta poitrine est magnifique.
    
    Je l’avais naturellement tutoyée.
    
    — On n’est jamais contente de ce qu’on a ! Moi je rêve d’avoir vos tétons.
    
    Elle éclata de rire et nous montâmes les escaliers.
    
    Arrivée à mi-hauteur, je me retournai et lui demandai :
    
    — Tu es libre samedi ?
    — Pas samedi, c’est une grosse journée pour nous. Mais demain je ne travaille pas.
    — Alors, je t’invite et on verra pour le porte-jarretelles.
    
    Elle me laissa son téléphone et son adresse et je lui donnai mon numéro de portable. Elle habitait à deux minutes de l’institut dans un petit studio. Je devais passer la prendre dans la matinée et nous irions peut-être si le temps le permettait faire un tour sur la côte où j’avais une petite maison. 
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