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Changement 3
Datte: 10/04/2019, Catégories: ff, grosseins, fépilée, rasage, magasin, Auteur: Anne-marie, Source: Revebebe
... la douleur était secondaire à la sensation délicieuse des doigts d’Aïcha qui manipulaient mon sexe que je sentais complètement offert. Je gardais les yeux fermés comme si je ne voulais pas savoir et surtout pas voir ce qui se passait. Je sentais les poils arrachés qui quittaient progressivement mon corps. Ses doigts se firent plus doux encore lorsque je les sentis parcourir le pourtour de l’anus. Je ne savais plus si elle m’épilait ou si elle me caressait. Elle passa plusieurs fois la boule sur le pourtour de mon anus. Je rouvris les yeux un instant, je ne voyais plus aucun poil sur le pubis et en haut de ma fente un énorme bourgeon de chair rouge se dressait, fier et provocateur. Mon clitoris entièrement dégagé n’avait plus aucune cachette, il pointait son nez fièrement. Je refermai les yeux, à la fois terriblement excitée et horriblement gênée d’exposer mon désir aussi radicalement. Je me souvenais d’une phrase de mon ex qui aimait à répéter qu’il était très dommage que l’on ne puisse pas voir les femmes bander, il aurait apprécié, lui qui m’avait tant demandé de me raser. Aïcha fignolait je sentais par ci par là une petite douleur aiguë du poil isolé qui quittait son bulbe. J’avais toujours les yeux fermés et je sentis la main d’Aïcha qui prenait ma main et la déposait sur mon sexe. Elle appuya toute la paume et je sentis la douceur tiède de la peau, la tendresse des grandes lèvres et le clitoris tendu au-dessus des petites lèvres libérées et gonflées. Elle fit ...
... descendre un doigt plus loin vers l’anus et le fit tourner autour du petit orifice débarrassé de la moindre végétation. Elle appliqua ensuite une sorte de baume, une crème légère et l’orgasme me surprit par sa violence et sa soudaineté. Elle me laissa récupérer et recommença à me caresser doucement, le clitoris restait toujours aussi dur, appelant un nouveau plaisir. Je me caressais les seins faisant rouler les tétons entre les doigts et je sentis le souffle chaud d’Aïcha sur mon sexe et sa langue qui parcourait lentement toute la vulve. Je redressai la tête, elle était restée assise entre mes cuisses et le léchait avec une infinie douceur. La sensation de la langue était décuplée par rapport à celle que donnait la même caresse lorsqu’il y avait des poils. Sa main gauche s’agitait vers le bas, elle se masturbait en même temps. Lorsque sa langue quitta l’anus pour remonter lentement toute la fente, je faillis crier. Elle aspirait les petites lèvres longues, et lorsqu’elle prit le clitoris entre ses lèvres je jouis si fort que je faillis déséquilibrer la table. Lorsque je repris mes esprits, Aïcha était à côté de moi et me tenait la main. — Vous m’avez presque fait peur ! Elle continuait à me vouvoyer malgré une intimité plus qu’avancée. — Vous n’avez même pas regardé le résultat ! Elle prit une glace que je refusais, j’aurais eu l’impression d’être chez ma coiffeuse. Il y avait un miroir sur la porte dans lequel je pourrais me voir en entier. Je tenais à avoir une ...