1. Jour de grève (2)


    Datte: 09/04/2019, Catégories: fh, fhh, inconnu, bizarre, laid(e)s, train, collection, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation Oral attache, totalsexe, Auteur: Claude Lamour, Source: Revebebe

    ... dans mon décolleté et me malaxe le sein avec passion. À l’étage inférieur, ça s’affole aussi. Âpre avoir défait deux boutons, le type a plongé sa main entre mes cuisses et se démène pour faire pénétrer deux doigts dans mon vagin trempé, mais mes jambes trop serrées l’en empêchent.
    
    Je me rends bien compte que si j’écartais mes cuisses pour lui faciliter le passage, ce serait également l’aveu de l’acceptation de la caresse donnée. Je profite d’une secousse et je déplace un peu mes jambes de chaque côté. Aussitôt, les deux doigts disparaissent dans ma fente en feu. Le type ne peut s’empêcher de soupirer d’aise de nouveau. Son manque de discrétion pourrait bien nous valoir quelques soucis. Je suis au comble de l’excitation, prête à jouir. Ma vue se trouble, mes jambes flageolent, mon ventre est pris de petits spasmes et mon cœur va se décrocher. Je fais mon possible pour respirer de façon normale et de ne pas gémir afin de ne pas me trahir auprès des passagers.
    
    L’année dernière, comme aujourd’hui, je me suis toujours laissée appliquer les caresses. Peut-être une façon pour moi de me sentir moins coupable et un peu plus victime. Mais là, je n’y tiens plus. Je tends mes mains et les colle aux braguettes de mes vicelards. Ils bandent tous les deux comme des fous, à en faire exploser leur pantalon. Hummm ! C’est exquis ! Je ferme les yeux et m’abandonne.
    
    J’entends vaguement les portes qui s’ouvrent, je sens des gens qui me frôlent, puis les portes qui se referment et la ...
    ... rame qui redémarre. Toujours mes yeux clos, je sens le chauve qui ouvre un bouton de mon décolleté et mes seins qui sont pris à pleine main et sortis hors de ma robe. Ça me déclenche un petit orgasme que j’ai bien du mal à cacher. Comme il doit être sûr de lui pour oser telle manœuvre. Mais ça ne s’arrête pas là. L’autre homme, de sa main libre, déboutonne rapidement tous mes boutons et ouvre ma robe. FOLIE !
    
    Je fais un pas en arrière et suis surprise de ne pas bousculer quelqu’un. J’ouvre les yeux. Je suis debout, face à la barre, la robe ouverte entièrement, avec comme seuls passagers, les deux types. Le wagon est vide. Je crois défaillir. Le chauve sent mon désarroi et tandis que l’autre ouvre sa braguette, il tente de me rassurer.
    
    — T’inquiètes madame, c’était la dernière station, on va en voie de garage et après il repartira dans l’autre sens. Ça nous laisse un peu de temps pour faire connaissance. Sympa, non ?
    
    Et comme pour imiter son compère, il sort aussi sa queue de sa prison de tissu. Le train roule lentement émettant des sons stridents comme si la voie était trop étroite pour lui. À droite comme à gauche, au travers des vitres, je peux apercevoir des rames à l’arrêt, toutes lumières éteintes. L’ambiance est étrange, froide, presque effrayante. Je me sens un peu perdue dans ce wagon désert. Je ne suis pas sûre que la situation m’excite beaucoup. Instinctivement, j’ai rabattu les pans de ma robe pour cacher ma nudité.
    
    — Ben ? Ma belle, tu vas pas nous lâcher ...
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