Jeux de couple les samedis soir - Histoires de Sexe

Jeux de couple les samedis soir

... pousser de petits cris de jouissance ; elle était consciente qu’elle se donnait en spectacle à ceux qui les entouraient, mais elle n’y pouvait rien : il la maintenait à la limite de la jouissance.

Brusquement, sans qu’elle le voie venir, il la retourna face au miroir. Lui maintenant toujours les mains au-dessus de la tête, il fit remonter le bas de sa robe de manière à ce qu’elle lui offre ses fesses. Elle se voyait dans le miroir, troussée comme une petite salope ; les regards des gens qui les entouraient étaient rivés au spectacle sensuel qu’ils offraient. C’est alors que de sa main libre il commença à lui donner une fessée à grandes claques retentissantes. Elle se tortilla pour se dégager ; les fesses lui chauffaient et elle les sentait rougir. Elle était nue, et il s’apprêtait à la prendre par derrière devant tout le monde.

Se souvenant de son gage, elle glissa une main derrière elle et la referma sur une bite déjà nue, ce qui lui épargna le cul. Surpris, il la laissa se retourner pour le masturber des deux mains ; elle y mettait tout son cœur pour qu’il ne revienne pas à sa première idée.

Le slow se terminait, et elle sentit qu’il allait jouir ; il retint ses doigts sur sa tige palpitante et elle sentit les jets de sperme gicler sur eux. D’un mouvement ferme il ramena sa main devant sa bouche et la força à lécher le liquide odorant.

De retour à la table, Julie, un peu nerveuse, me raconta ce qu’il s’était passé ; elle me caressait la queue et les couilles à ...

... travers le pantalon dans une tentative pour m’amadouer. Choqué et en même temps super excité, je lui dis :

— Tu as été plus loin que prévu : tu vas être punie.

En même temps, vu le flot de mouille qui tachait sa chaise, je sentais bien qu’elle ne regrettait rien.

— Comme tu n’a pas su t’arrêter, on continue.

De loin, je sentais les regards de ses trois partenaires qui ne nous quittaient pas des yeux, les deux derniers complices au bar, et le premier à une table au fond.

Je ne voulais pas sortir avec tout le monde, alors j’entraînai ma petite femme vers la sortie. En passant la porte, je vis du coin de l’œil nos trois lascars qui s’étaient levés : mon plan allait fonctionner. Intentionnellement, j’avais stationné mon van dans un coin reculé. J’expliquai à Julie ce que je voulais faire.

— Tu vas leur donner le spectacle de leur vie.

J’avais reculé les deux sièges avant et mis les accoudoirs entre eux. Dans un état presque second, Julie enleva sa robe et s’installa, un genou sur chaque fauteuil et le reste du corps appuyé sur les accoudoirs. Son petit cul était ainsi bien dressé dans les airs, les lèvres de la chatte ouvertes, le petit anus rose qui palpitait.

Je sortis de l’auto et vérifiai mon œuvre : quel spectacle elle offrait, ma petite chérie, excitée et dégoulinante, le cul exposé à travers le pare-brise !

Assis devant elle sur le siège du milieu à l’arrière, sans pantalon, j’offris ma queue à sa bouche.

— T’as jamais été aussi gros ; ça t’a ...