Jeux de couple les samedis soir - Histoires de Sexe

Jeux de couple les samedis soir

Salut !Après cinq ans de mariage avec Julie, même si notre vie sexuelle était encore satisfaisante, nous avions un peu comme fait le tour. De prude, elle s’était peu à peu transformée en femelle pantelante qui adorait se faire prendre et faire sa petite cochonne. Depuis quelque temps elle me laissait même jouer avec son anus, pratique qu’elle semblait de plus en plus apprécier, surtout lorsque j’y allais avec la langue.Nous avions un peu fréquenté les sites pour voyeurs et même des bars échangistes – mais en spectateurs – nous donnant un peu en spectacle mais fuyant les contacts, ne sachant pas vraiment comment s’y prendre pour ne pas choquer l’autre, jusqu’à ce qu’un soir on en parle. On voulait tous les deux revivre l’excitation intense de nos débuts alors que nous allions de découverte en découverte. Je proposai alors que chaque samedi l’un des deux prenne, en alternance, le pouvoir sur l’autre et organise la soirée.Pas très sûre, elle fit oui de la tête.— Sans restriction.Elle me fixa et finit par acquiescer.Il faut dire que mes doigts qui fouillaient vigoureusement sa chatte avaient aidé.Ce sont ces samedis que je vais vous raconter, l’un après l’autre…

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Le samedi suivant, c’était à moi. Dans l’après-midi, je lui servis quelques boissons exotiques, de plus en plus corsées, sachant que l’alcool la désinhiberait ; une ligne avec ça, et cette jolie femme timide pouvait parfois se métamorphoser en nymphomane.

Vers 7 heures.

— Tu veux ...

... t’habiller ? Ton linge pour ce soir est sur le lit.

Ne sachant pas ce que je lui réservais elle me fixa, sourit et pénétra dans la pièce.

Quelques minutes passèrent, puis :

— C’est ça que tu appelles « habillée » ?

Elle apparut, délicieuse dans la petite robe légère que je m’étais procurée pour l’occasion.

— Tu es très jolie, très excitante, ma chérie. Trop, peut-être…

C’est vrai que comme ça c’était un vrai appel au viol.

Julie est très jolie et prend bien soin d’elle ; cinq pieds sept pouces et cent dix-huit livres de chair tendre, de longs cheveux noirs presque à la taille, un visage de sainte nitouche qui lui donne un air vulnérable, ce qui la rend d’autant plus sexy lorsqu’elle se transforme en femelle.

Et un corps… De petits seins fermes et provocants aux mamelons facilement érigés, la taille fine surplombant les longues jambes qui attirent les regards des mâles lorsqu’elle marche. À l’arrière, ses cuisses se fondent dans la plus belle paire de fesses que je connaisse. Ce qu’elle a de plus sexy est sans conteste son petit cul ferme aux fesses tendres.

Elle se tient devant moi, mise en valeur par la minuscule robe qui la découvre autant qu’elle la couvre. De fines bretelles qui laissent les épaules à nu et s’évasent sur les seins, le dos nu. Ce qui rend la chose si excitante, c’est la texture du tissu si fin qu’il épouse ses formes. La robe est courte et fendue sur le côté presque jusqu’à la taille.

— Et pour les sous-vêtements ?
— Tu n’en a ...