Jeux de couple les samedis soir - Histoires de Sexe

Jeux de couple les samedis soir

... l’oreille. Je sais qu’elle lui explique qu’elle est avec son mari et qu’elle n’a droit qu’à une danse par mec ; son air déçu en dit long.

Ma chérie me rejoint.

— Alors, comment était-il ?

Gênée mais visiblement de plus en plus excitée, elle me décrit une queue un peu quelconque bien qu’assez large, au gland décalotté.

Pour le second slow, c’est un homme de bonne taille aux cheveux courts qui l’entraîne ; je sens que celui-ci doit plus lui plaire. Peut-être a-t-il suivi la prestation de l’autre avec ma femme car tout de suite il se montre entreprenant : ses mains sont sous sa robe avant qu’elle n’ait pu lui dire quoi que ce soit. Il a découvert qu’elle est nue en dessous. Il l’entraîne vers un coin plus obscur, l’appuie contre un mur puis sa main s’agite entre ses cuisses (plus tard, elle me racontera qu’il la fouillait profondément de trois doigts en lui mordillant un mamelon).

Lorsque je le vois sursauter et la regarder abasourdi, je comprends qu’elle vient de faire une incursion dans son pantalon ; il agite son bassin pour aller à la rencontre de la masturbation, et c’est avec soulagement que j’entends la musique se terminer alors qu’il tente d’amener Julie contre lui. Elle lui explique la règle d’une seule fois par danseur.

La soirée s’achève et Julie se presse contre moi comme une chienne en chaleur ; allumer ces mecs l’a excitée, et elle se caresse elle-même la chatte.

Comme je ne suis plus sûr de vouloir continuer, c’est elle qui me ramène à ...

... notre accord :

— Tu as dit trois fois, alors j’y retourne.

Je suis un peu nerveux de la laisser aller se faire caresser dans l’état où elle est ; ses yeux brillent, et je voudrais quand même la garder sous contrôle. En même temps je bande dur, excité par ma petite femme d’habitude si réservée.

Elle s’en rend compte en me caressant.

— Tu aimes, à ce que je vois ! Je vais jusqu’au bout pour que samedi prochain tu fasses pareil.

Et elle se dirige vers le bar.

Dès qu’une musique sensuelle s’installe, un gars s’interpose devant les autres et l’entraîne. Séduisant, la quarantaine, cheveux longs, il semble savoir ce qu’il veut.

Comme cette fois la piste est bondée, je les perds de vue et ne peux les retrouver. Je prends un verre en attendant.

Plus tard, Julie me raconte que celui-là avait dû être mis au courant par un de ses premiers partenaires : dès le départ il l’a entraînée à l’écart, au fond, devant un grand miroir.

— Alors comme ça on a la chatte à l’air et on a envie de jouer ?

Il baissa les bretelles de sa robe et découvrit ses seins gonflés de désir. D’une main il emprisonna ses poignets et les releva au-dessus de sa tête, ce qui lui releva la robe au ras de la touffe. Sa main libre se glissa entre ses cuisses pour agacer son clitoris ; il savait y faire…

— Lamente-toi, petite salope ! Je veux t’entendre.

En même temps sa bouche rejoignit un mamelon qu’il mordilla à la limite du supportable. Subjuguée, ma petite chérie se mit à geindre et à ...