Inconnue familière
Datte: 08/04/2019,
Catégories:
fh,
inconnu,
handicap,
telnet,
amour,
fsoumise,
jalousie,
massage,
Oral
pénétratio,
jeu,
yeuxbandés,
nonéro,
mélo,
historique,
Auteur: Collectif Antilogies, Source: Revebebe
... guise. Il se jetait alors sur elle, la fouillait, s’emparait d’elle de toute la force de ses reins puissants, la rejetait, pour mieux la reprendre. Parfois, après maintes étreintes, au moment de s’avouer vaincu et de sombrer dans le sommeil, il lui laissait prendre sa main et guider ses doigts entre ses cuisses. La sensation des délicates aspérités qui ornaient sa grotte d’amour, celles-là même qui lui permettaient d’un simple effleurement de la faire gémir de plaisir, l’accompagnait longtemps encore.
La chance tourna un froid jour de novembre. Alors qu’il mettait la dernière main à la reconquête d’un village qu’un shogun malintentionné avait occupé, il fut informé qu’une bande de pillards s’apprêtait à attaquer son propre village. Il trucida quelques misérables paysans qui avaient eu le tort de transformer leur faim et leur désespoir en révolte, avant de parcourir comme l’éclair la trentaine de kilomètres qui le séparaient de sa femme.
Des spadassins venaient de mettre le feu à sa demeure au moment où il déboula au grand galop. Il sauta de cheval, transperça quelques imprudents qui tentèrent de lui barrer la route. Il arriva enfin devant sa porte, juste à temps pour voir le chef des brigands enlever son épouse inanimée, et la jeter sans ménagements sur son cheval. Prise de guerre.
Il se rua à l’assaut, sabre levé. Épuisé par les combats précédents il n’eut aucune chance. Un formidable coup de masse le terrassa. Il tomba au sol, sans connaissance.
Il se ...
... réveilla après plusieurs jours et plusieurs nuits de douleurs et de délire. Un paysan l’avait traîné chez lui et soigné du mieux que possible, à moitié par pitié, à moitié par appât du gain. La vie sauve d’un samouraï de tel calibre pouvait valoir gros.
Mauvais choix ! Sitôt réveillé il dût se rendre à l’évidence que, sous la violence du choc, le guerrier était devenu aveugle. Perte sèche pour le bon samaritain, même en tenant compte de ce qu’il avait volé dans la bourse du blessé avant qu’il reprenne ses sens.
À cette époque, une telle infirmité était fatale. Chacun devait se prémunir contre les risques de misère. Aucune place pour la pitié. Le samouraï se souvint toutefois d’un maître acupuncteur de grand renom. Il le fit chercher et commença un long apprentissage de massage et d’acupuncture. La seule activité encore possible pour lui. Quelle déchéance pour un si fier combattant ! C’était pourtant le seul moyen de gagner de quoi payer logis et nourriture.
Surmontant sa colère face à l’adversité, il arriva en peu de temps à développer un incroyable sens du toucher. Les plus fines variations de pouls de ses patients ne lui échappaient pas. Il palpait aussi avec une incroyable facilité chaque point douloureux, posant les diagnostics les plus complexes, offrant le plus rapide soulagement à chaque malade qui lui confiait ses tourments.
Aussi habile dans l’art du massage que dans le maniement du sabre, il savait aussi procurer des plaisirs inespérés à quelques femmes de la ...