1. La bonbonnière rose...


    Datte: 06/04/2019, Catégories: f, fh, fplusag, inconnu, prost, Oral préservati, init, tarifé, Auteur: Jean-François, Source: Revebebe

    ... depuis qu’elle travaille dans la rue. Tess est troublée. Elle prend le temps d’aller s’allonger un instant sur le lit toujours défait et qui sent encore leur étreinte.
    
    Machinalement, elle ferme les yeux pour tenter de faire le vide dans sa tête. Mais au lieu d’oublier les images et les sensations ressenties, voilà que son esprit, sa rétine, sa main, son corps s’excitent… Tess caresse doucement son sein… qui est toujours lourd de son plaisir et dont elle a l’impression que ses tétons portent encore la marque de la succion d’Hubert. Doucement, elle tire sur le bout de ses seins et déclenche une longue onde de plaisir qui lui vrille le ventre, la forçant par réflexe à faire claquer ses cuisses. Elle continue pourtant à triturer et empoigner ses seins, prolongeant son plaisir, à moins qu’elle ne s’en redonne une petite lichette. Tess, serait dans l’impossibilité de le dire.
    
    En bas, ses hanches entament une danse ondulante, chaude qui creuse son ventre, fait monter ses fesses, les fait enfoncer dans le matelas… et l’une des mains de Tess abandonne son sein pour se diriger en droite ligne vers son entrejambe qu’elle écarte pour aller caresser son clitoris qui reste dur et hyper sensible à son approche. Et Tess doucement, avec délicatesse d’abord puis de plus en plus violemment, revivant son plaisir qu’elle vient d’avoir, redonne à ...
    ... son corps une nouvelle vague de jouissance. Maintenant, les talons coincés dans le matelas, jambes écartées, fesses relevées, une main frottant son clitoris, l’autre écartant ses lèvres et fouillant l’entrée de son sexe, Tess se laisse emporter par le plaisir de son corps. Ses doigts, raidis, fouillent le sexe gonflé pendant que d’autres raclent l’humidité qui coule vers ses fesses et écartent sa rondelle qu’elle finit par pénétrer, complétant son bonheur jusqu’à atteindre le paroxysme de son plaisir… et la faire retomber, lourdement sur le lit, échevelée, trempée de bonheur et de sueur. Incapable de reprendre sa respiration normale durant de longues minutes.
    
    C’est à pas menus que Theresa, dite Tess, monte l’escalier pour la énième fois, dodelinant ses hanches à quelques centimètres du visage de son client. Avec sa jupe serrée et courte, son imperméable ciré noir et ses cuissardes, elle sait quels effets elle peut provoquer, quels émois elle peut déclencher. Sa blondeur attire inévitablement le regard des hommes, concupiscents, et lui vaut les foudres de leurs femmes. L’œil de biche, légèrement fardé pour l’agrandir au maximum, ces prunelles violettes troublent ceux qu’elle aguiche et rares sont ceux qui résistent.
    
    — Tu montes ?
    — Heu… Combien ?
    — 50 euros le premier quart d’heure… 90 la demi-heure…
    
    Ainsi va la vie de Tess… 
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