Une panne vite oubliée
Datte: 24/02/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Poesexe, Source: Hds
... sphincter. Elle gémit un peu, mais donne des coups de reins, m’aidant à m’enfoncer jusqu’à la garde.
« Tu m’encules, petit salaud » dit elle en poussant son fessier vers moi. « c’est tout ce que tu as ? »
La provocation méritant une réponse, je me mets à la bourriner de plus en plus fort, lui arrachant des gémissements plaintifs, sans tenir compte de sa douleur, juqu’à ce que j’explose et lui remplisse le cul.
Lorsque je sors d’elle, elle se retourne, et me met une grande baffe, avant de refermer son peignoir et de disparaître. Me doutant qu’elle va occuper la salle de bains, je me résous à une toilette rapide dans l’évier de la cuisine, avant d’aller me coucher.
Je suis réveillé par des bruits de vaisselle. Le soleil est déjà haut, et une bonne odeur de café flotte dans la maison. Je me redresse sur mes coudes, pour voir Marie-José traverser le living en direction de la terrasse, un broc de café, à la main.
« Déjà réveillé ?, le petit dej, c’est dehors » m’annonce t’elle en passant.
J’enfile un caleçon et je la rejoins sur la petite terrasse, encore à l’ombre. Un petit air frais a remplacé la chaleur de la nuit. Marie-José est déjà habillée et maquillée, environnée d’un nuage de parfum. Gwen n’est plus sur la terrasse. A lors que je la cherche des yeux, Marie-José me dit qu’elle est remontée au petit matin, car elle avait froid. Il est encore tôt mais la température remonte déjà. Il va faire encore très chaud.
« Tu as bien dormi ? « me demande ...
... Marie-José.
« Super bien, et toi ? »
« J’ai eu un peu de mal à trouver le sommeil, à cause de toi. Ne t’imagine pas que ça va durer. Je vis seule et entends le rester. »
« Pourtant l’intermède d’hier soir n’a pas eu l’air de te déplaire. »
« Je mentirais en disant le contraire » dit elle en reposant sa tasse et s’approchant de moi.
« J’aime vivre seule mais je ne suis pas une nonne. Pourtant je n’aime pas subir ce que veulent les autres. »
« Tu sais bien que c’est un jeu » lui dis-je
« Je peux jouer aussi » dit elle, en glissant sa main dans mon caleçon. Elle commence à me branler doucement. Je l’embrasse alors, et soulève sa robe pour atteindre sa culotte de dentelle. Elle est déjà humide. Je la saisis par les côtés et la fait descendre le long de ses jambes. Elle soulève complaisamment un pied, puis, du bout de l’autre, envoie valser le petit bout de tissu. Puis elle me repousse et rabat sa robe.
« Je dois aller travailler » dit elle avec un sourire moqueur en contemplant mon érection. « je te laisse finir seul. »
Elle ramasse sa sacoche et s’en va.
Je réintègre, tant bien que mal mon slip, et me concentre sur le petit déjeuner, ma foi, fort copieux. Je suis en train de siroter mon jus d’orange quand Gwen fait son entrée, toujours vétue de son seul tee-shirt blanc ridiculement court.
« Salut, ça va ? « dit elle en se servant un grand verre de jus de fruit. « il fait meilleur maintenant, j’ai dû remonter, je me caillais trop sur le matin. » Elle ...