Lundi et mardi
Datte: 03/04/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
vacances,
piscine,
Masturbation
massage,
Auteur: Floks, Source: Revebebe
... savoir célibataire m’ouvrit encore les yeux : si j’accrochais avec elle, je pourrais faire ce que je voudrais de son corps… Un jouet.
Elle me raconta sa vie. Depuis trois mois elle était seule, déçue par son ex, et profitait de son temps libre à la maison, même si elle ne manquait pas de prétendants. Pendant son discours, mes yeux la regardaient, des pieds à la tête en insistant sur les parties les plus attirantes (il a fallu trier…). Je me levai aussitôt pour sauter dans l’eau et me rafraîchir, mon sexe commençant à bander dangereusement !
De nouveau à ses côtés, je regardai son décolleté qui dévoilait des seins ronds et bien hauts, dont on devinait les petites pointes fines, et son slip qui cachait à peine sa chatte moulée sous le tissu. Elle se retourna pour faire bronzer son dos. Je pouvais maintenant admirer sa croupe, rebondie mais pas trop. Elle me regarda et demanda alors :
— Tu aimes masser ? J’adore l’être… Tu ne me masserais pas les épaules, s’il te plaît ?
Je me levai d’un coup et vint m’asseoir à sa droite, elle couchée sur le ventre, bras croisés sous la tête. Je posai mes mains sur ses épaules et je commençai à la masser doucement. Ses gémissements trahissaient son appréciation du geste. Je descendis lentement sur le dos, par-dessus la bretelle du haut. Puis mes mains glissèrent sur ses reins et sur les jambes. Je lui massai les cuisses, elle les écarta un peu, toujours gémissante :
— Hmm… un délice ton massage… Ça fait un bien fou !
— Et ...
... encore, tu sais pas tout ce que mes mains sont capables de faire…
Elle sourit, amusée de la remarque, et se posa en fermant les yeux. Mes caresses continuèrent sur ses cuisses, je m’aventurai à présent à l’intérieur. Remontant lentement, toujours attentif à ses réactions, je poursuivis sur ses hanches tout en évitant ses fesses, pourtant un appel à tout homme normalement constitué.
— Karine, je peux détacher la bretelle de ton haut ? Ça serait plus simple pour masser tes épaules ?
— Bien sûr. Dénoue-la.
Aussitôt fait. Je frottais lentement son dos, mes mains glissant par petits coups sur ses côtes. Je pouvais ainsi apprécier les rondeurs de ses seins écrasés. Je la sentais frissonner sous ces furtifs attouchements. Je redescendis les doigts, glissant sur ses fesses. Je pus apprécier leur fermeté et leur parfaite rondeur. Karine tourna la tête vers moi :
— N’en profite pas trop quand même, hein… Tout doux.
— OK, pas de problème. Désolé.
En fait, je ne voulais que plus. Elle me regardait toujours et comprenait mes pensées.
Arrivé de nouveau sur ses cuisses, je massai l’intérieur plus intensément. Mes deux mains montèrent doucement vers le fin tissu noir qui cachait, moulait sa vulve. Je pouvais la deviner, l’imaginer. Je bandais… Juste à la ligne de l’élastique, je frottai sa peau, lui tirant un doux gémissement de bien-être. Un de mes doigts s’aventura sur le tissu, frôlant les formes de ses lèvres. Elle frissonna, écartant un peu plus. Je laissai mon doigt aller ...