Lundi et mardi - Histoires de Sexe

Lundi et mardi

J’avais 26 ans au moment des faits. Nous étions descendus dans le sud de la France avec mes parents pour une petite semaine dans une maison que nous avions louée. Arrivés sur place, les propriétaires, un couple assez BCBG, nous attendaient. Après nous avoir remis les clés de leur petite masure, la dame nous dit :

— Vous verrez, le coin est idéal pour les balades, tant à pied qu’en voiture ou encore en vélo. Si vous souhaitez en faire, nous en avons quelques-uns de disponibles, vous pouvez passer chez nous les emprunter. Bonne semaine de vacances !

Et elle retourna dans sa maison principale, juste après avoir encore précisé qu’elle et son mari seraient absents, leurs filles garderaient la maison et il fallait aller vers elles pour tout renseignement.

Le soir, durant notre premier souper sur la magnifique terrasse avec vue sur les Alpilles, nous préparions le programme du lundi, et pour moi ce serait balade en vélo dans les environs. Je me voyais déjà rouler tous les jours de la semaine, au maximum. Sauf que…

Aussitôt le petit-déjeuner terminé, j’allai me préparer pour ma promenade cycliste comme prévu. Mes parents et mon frère encore présents, je les quittai et me rendis vers la maison principale des propriétaires. Devant le grillage qui entourait leur pelouse, je pouvais admirer leur domaine : grande maison provençale, piscine et gazon coupé court.

Mais mon attention fut captée par autre chose, une vision de rêve : à côté de la piscine, sur une chaise longue, ...

... bronzait une splendide blonde, gainée d’un maillot bikini noir très petit. Je regardai ses courbes depuis ma position, lorgnai ses formes. Mes yeux se fixèrent sur son mont de Vénus, que j’imaginai porté vers bien des plaisirs et je ne pus m’empêcher de l’imaginer nue. Mon esprit vagabondait et je ressentis alors ma queue grossir dans mon short. Je me dis alors :

— Retiens-toi, tu dois aller vers elle… reste calme…

La bosse dure de mon sexe se détendait, je me décidai à pousser la barrière et appelai. Elle se leva et vint vers moi. Son corps fin et élancé ondulait sous le soleil, lunettes de soleil dans les cheveux. Mon regard se posa sur sa poitrine et ses hanches. Un corps sublime, une beauté.

— Salut, moi c’est Karine. Tu viens chercher quelque chose ?
— Oui… euh… enfin… euh… je… te demande… de me… prêter… un vélo, s’il te plaît…

Non sans mal, j’ai bredouillé ces quelques mots. Elle me regardait amusée, certaine de l’effet qu’elle produisait sur moi. Elle me demanda de la suivre (un bonheur avec une telle paire de fesses sous les yeux…) derrière la maison, vers le garage.

Devant le garage, Karine se pencha pour chercher la clé sous le paillasson. Toujours derrière elle, je fixai sa croupe tendue, sous le maillot noir qui collait à ses fesses. Je ne pouvais encore m’empêcher d’avoir des pensées pour le moins salaces. Je remarquai avec un plaisir fou que le tissu moulait ses lèvres entre ses cuisses, et j’eus en tête l’image d’une petite chatte fine et lisse… ...