Lundi et mardi - Histoires de Sexe

Lundi et mardi

... J’en salivai déjà.

— Hé… dis… tu prends lequel, alors ?
— Heu, pardon… ben, celui de course, s’il te plaît.

Un peu honteux de me faire pareillement surprendre à la mater, je me sentis rougir… Et elle sourit, malicieusement.

Je pris le vélo choisi et on retourna vers le grillage d’entrée.

— Bon, ben… bonne balade ! Tu te feras plaisir, j’espère.
— Merci, c’est sympa de ta part. Bonne bronzette à toi, Karine.
— Merci…
— Alex, lui lançai-je, vu qu’elle ne savait pas encore mon prénom.
— OK, Alex… Tu verras, les routes sont chouettes et tu devrais bien transpirer avec cette chaleur. Tout bon pour te muscler comme il faut, ça !
— Oui, en effet… Bon, j’y vais. Merci pour tout… et à bientôt !

Je tentai une approche pour lui faire la bise, qu’elle accepta. Elle retourna aussitôt vers sa chaise longue, mes yeux sont restés scotchés sur ses fesses. Elles me faisaient envie. Je voulais les toucher, les embrasser, les écarter… Je montai alors sur la bécane et je me mis en route, mes pensées toujours sur le corps de cette blonde, aussi appétissante et sexy que brûlante.

Ma petite virée dura trois bonnes heures. Je rentrai poser le vélo. Il n’y avait personne. Je trouvai, sur la porte du garage contre laquelle je laissai le vélo, un petit billet qui disait« si tu veux bronzer demain avec moi, ça serait avec plaisir. Dès 9 h rdv ok ? ». Avec son numéro de portable. Je lui répondis aussitôt arrivé devant notre maison, qu’évidemment c’était OK pour moi…

Toute la ...

... nuit je pensais au lendemain, je nous imaginais enlacés, à se caresser, ma langue sur son minou, ses lèvres autour de mon gland, mon sexe coulissant dans le sien, mon jus coulant sur ses seins… et je ne pus me retenir : ma queue durcie et tendue ne demandait qu’à être soulagée. Je me suis alors masturbé avec une délectation inouïe.

Un bon café englouti, j’allais me préparer pour retrouver Karine et ses formes… Je mis un t-shirt sympa et mon maillot de bain, pris un linge et mes cigarettes avant d’enfiler mes tongs. Je me mis en route, l’esprit occupé par des pensées inavouables sur Karine.

— Ah, te voilà Alex, entendis-je dès la porte d’entrée poussée.
— Coucou, Karine, ça roule ?

Je lui fis la bise avant de la regarder en détail : toujours aussi sculpturale, elle portait un bikini bleu clair à lacets et avait ses lunettes de soleil dans les cheveux attachés en queue de cheval. On alla au bord de la piscine et chacun s’allongea sur une chaise longue.

— Tu passes toutes tes journées seule ?
— En principe, oui. Ma sœur ne rentre que vers 16 h. Le reste, je suis tranquille ici, j’en profite pour lézarder au soleil.
— Et ton mec ne vient jamais te rejoindre ? C’est sûrement le pied à deux ici, seuls, pour faire ce qu’on veut, non ?

Je m’allumai une clope en la regardant, et elle m’en demanda une aussi. Elle reprit, amusée :

— Ben… quand j’étais avec mon ex, on passait du temps ici, c’est vrai. Mais lui était plus copains que copine… donc je me suis lassée.

La ...