La police des activités virtuelles
Datte: 01/04/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
Humour
policier,
sf,
Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe
... m’expliquer ce qui se passe !
— Chut ! Moins fort ! On risque de nous entendre. Tenez, reprenez votre argent. Il n’y a rien à expliquer pour l’instant, je vous ai tout dit.
Je repris les billets et les rangeai en continuant de l’observer d’un air interrogateur. Elle sortit de son petit sac un portable et composa un numéro. Elle attendit quelques secondes avant d’annoncer fièrement à son interlocuteur :
— Bon, il est avec moi. … Oui, tout va bien. Mais je crois qu’on est pistés. … Okay. À plus.
Elle raccrocha. J’allais à nouveau la questionner, tandis qu’elle rangeait son téléphone, lorsque nous vîmes l’homme en imperméable s’asseoir à un poste PC à quelques mètres de notre alcôve, droit devant nous. Tilya s’empressa de m’embrasser à pleine bouche.
— Vous êtes bonne actrice ! lui susurrai-je lorsqu’elle retira ses lèvres des miennes.
En guise de réponse, elle plaqua sa main entre mes cuisses.
— … mais vous ne croyez pas que vous en faites un peu trop ?
Elle ne répondit que d’un mouvement des yeux, désignant l’homme qui pianotait sur le clavier de son PC. Je regardai rapidement vers lui. Il ne semblait pas s’intéresser à nous mais, de là où il se trouvait, il était possible qu’il puisse observer tous nos faits et gestes. Tilya continua de me caresser l’entrejambe, tandis que je la dévisageais avec insistance.
Elle tourna doucement la tête pour observer à son tour celui qu’elle pensait être notre "pisteur", puis me murmura :
— J’en suis sûre, c’est ...
... un flic ! Il nous épie. Nous allons lui en donner pour son argent…
Et elle accentua le rythme de ses caresses. Je me mis malgré moi à bander sérieusement et à la désirer comme jamais je n’aurais cru pouvoir le faire d’une femme que je ne connaissais que depuis quelques minutes. Elle était certes très belle et très désirable, mais c’était vrai aussi que j’étais "vieux jeu", comme s’était plu à me le répéter Catalina, et que je n’étais pas du genre à m’abandonner à une fille d’un instant.
Elle m’embrassa à nouveau, sans cesser de me caresser. Je me laissai faire, savourant son expertise. Elle commença à déboutonner mon pantalon.
— Que faites-vous ? ne pus-je m’empêcher de dire.
— Vous ne devinez pas ? me répondit-elle avec un sourire.
— Mais pas ici, quand même…
C’est alors que j’entrevis un mouvement de l’homme en imper, qui me parut se pencher légèrement de côté, et nous observer à la dérobée. Cela me fit redescendre du petit nuage d’excitation que Tilya avait réussi à me faire atteindre.
— Qui avez-vous appelé à l’instant ?
— Mes employeurs, me répondit-elle en glissant sa main dans mon caleçon.
— Attendez… commençai-je.
Mais elle n’attendit pas du tout et se mit à me masturber vivement, tout en m’embrassant avec sensualité.
— Mais enfin, je pourrais être votre père !
— Oui. Mais vous ne l’êtes pas…
Je la vis jeter un regard à la dérobée vers l’homme qui nous espionnait, avant de se pencher sur mes cuisses, d’ouvrir davantage mon pantalon, d’en ...