Je me tape toutes les filles de ma classe (4)
Datte: 30/03/2019,
Catégories:
Trash,
Auteur: malmsteenbatio25, Source: Xstory
... léchai. Les mordillai. Crachai dessus. Ravalai ma salive. Tentai d’en faire sortir du lait. En vain.
— Je vois que Monsieur aime bien mes nibards ? me fit-elle d’un air maternel.
Je saisis mon pénis, dégrafai son soutien-gorge, et m’en fis un bâillon contre mon nez. Je respirai son parfum de sous-tif, je m’en imbibai, tel un amant éploré, tandis que je croquai à pleines dents son sein gauche, puis son sein droit.
— Aaaaaaaaaaaie !!!
La respiration haletante, à deux doigts de l’asphyxie, je plongeai ma bouche de plus en plus bas, jusqu’à son pantalon de pyjama. Une petite touffe de poils pubiens dépassait de ses bourrelets de grosse truie. Elle mouillait. La température de sa grosse chatte d’obèse devait bien dépasser les 45 degrés. Otant de mon visage le soutien-gorge qui m’étouffait en plus de me donner l’air d’un con fini, je respirais à nouveau. Sa vieille vulve puait. Une infection. J’aimais ça.
Me relevant d’un coup, je saisis sur ma table de nuit une tablette de chocolat. La découpant en petits morceaux, je l’enfonçai dans son vagin.
— Mais qu’est-ce que tu fous mon bébé ? qu’elle me fit.
Je frottai consciencieusement la paroi de sa chatte avec mon chocolat lindt à 15 euros la tablette, et imbibai ces divins carrés de mouille et de pertes blanches. Mon carré de chocolat était recouvert de traces blanches et de poils pubiens. Je l’engloutis avec volupté.
— Mais t’es dégueulasse !
Je n’en avais plus rien à faire. Julie eut beau faire semblant de ...
... se débattre avec la fausse pudeur qu’ont toutes les femmes honteuses de se livrer à d’obscènes pratiques, ma chérie d’un soir n’eut pas le courage de m’empêcher de lui enfoncer un par un une dizaine de carrés de chocolats dans son trou à vie.
— AAAAAAAaie !!! Ca fait maaaaal !!!
— Pousse ma jolie ! J’avale tout pendant que ça fond ! Ta chatte est un véritable four micro-ondes tellement que t’es en chaleur !
Et elle lâcha tout, d’un coup. J’avais du chocolat plein la bouche.
— Fais-moi goûter !
Je m’approchai de sa bouche, et y cracha sans une once de vergogne son chocolat de chatte. Elle régurgita tout sur mon visage. Tout. Le chocolat, les pertes blanches, les poils pubiens, mais également les chips en fin de digestion et le coca bien acide qui me brûlait les yeux. J’étais aux anges.
— Oups ! Désolé mon bichon, ça va ?
A peine eut-elle fini ces mots qu’elle vint me laper le visage, comme la petite chienne qu’elle était, pour ôter de ma face souillée son résidu gastrique multicolore. Je ne saurais pas dire combien de temps ma petite cochonne mit à nettoyer mon visage. Peut-être cinq minutes, peut-être dix, peut-être vingt, seul Dieu (qu’il me pardonne) le sait. Je sentais son haleine chaude et puante près de mes narines, et cela me faisait du bien, beaucoup de bien. Je n’eus même pas besoin de me toucher pour tout éjaculer. C’était comme un avant-goût d’orgasme féminin. Pour la première fois de ma vie, je me sentais femme. J’ai joui sans me toucher.
— ...