1. Je me tape toutes les filles de ma classe (4)


    Datte: 30/03/2019, Catégories: Trash, Auteur: malmsteenbatio25, Source: Xstory

    ... enjoué.
    
    Mon dard hypertrophié s’était dressé involontairement à la vue de cette femelle en rut. Un trou est un trou, un homme reste un homme, un homme dans un trou reste un homme dans un trou, de la même manière qu’un trou percé d’un homme reste un trou percé d’un homme, et comme elle en avait trois, la somme totale des positions géographiquement réalisables ne me laissait pas de marbre.
    
    — Je venais te taxer une clope ! se justifia-t-elle.
    
    — Ca tombe bien, lui rétorquai-je, d’un air égrillard. J’ai un gros cigare à te faire goûter ma cochonne.
    
    Je saisis par le chignon cette jeune imprudente après avoir refermé la porte de ma chambre derrière moi, et portais sa bouche assoiffée de foutre sur mon Corona calibre 12.
    
    — M... Mmmmph... Mais je... pleurnicha-t-elle.
    
    — Plus de glouglou, moins de blabla !
    
    Et le silence se fit. Elle gobait tout. On aurait dit qu’elle n’avait pas mangé depuis trois jours. La chanson on est foutus, on mange trop d’Alain Souchon me trottina dans la tête. C’était un spectacle désolant pour moi de me faire sucer par une grosse avec cet air entraînant de variétoche seventies dans la tête. Pendant que les trombones, les cuivres et le chant du père Souchon me trottinaient dans la tête sur un rythme de 80 battements par minute, Julie, elle, se nourrissait de ma verge en cadençant sa grosse tête à 60 battements par minute. Afin que les mouvements de va-et-vient de sa gorge profonde correspondent au rythme de la chanson que j’avais dans la ...
    ... tête, je décidais alors de saisir ses cheveux par touffes entières, et de faire correspondre sa cadence d’avec ma chansonnette.
    
    — Aaaaïe !... Tu... Gloups... Me... Fais... Gloups... mmmph... Mal ! chouina-t-elle.
    
    T’as de la chance que j’aie pas en tête la valse à mille temps, de Brel, quoique... lui fis-je. Quoique...
    
    Et je me mis à lui susurrer à l’oreille, en démarrant une nouvelle chanson :
    
    — Au premier temps... De la pi-peuh.
    
    Puis nous passâmes au deuxième temps, puis au troisième, au dixième, etc. Jusqu’à ce que je parvienne, à 200 battements par minute au millième temps de la valse. Possédé, hurlant, tremblant, pris en proie à des contorsions d’épileptique, je lui perçais les tympans, elle, me dégorgeant le poireau à la vitesse de l’éclair, moi, me faisant pomper à toute allure, le frein sur le point de se rompre, ma comparse de dégueuler :
    
    — Une pipe à MILLE TEMPS !!! Une PIPE A MILLE AAAAA AAAA AHH JE VAIS TOUT LAAAAAAAACHER !!!!
    
    Et je finis par lâcher un torrent de foutre entre ses amygdales. Elle était sur le point de tout recracher, la bougresse. Je saisis ses deux lèvres, et la force à avaler ma liqueur de vie.
    
    Elle déglutit bruyamment, poussant un haut-le-cœur, et finit par roter.
    
    Une odeur putrescente de chips et de coca sortit de son cloaque. Je rebandais.
    
    — Quoi ? Tu bandes encore ? Une bonne pipe ne t’a pas suffi ?
    
    En guise de réponse, je lui tripotai les seins. Sa grosse paire de seins. Ses deux ogives nucléaires. Et je les ...