1. saga africa (2)


    Datte: 29/03/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: chloe23, Source: Xstory

    ... dresser sous ma langue. Elle se pencha en arrière pour faciliter mes caresses, et elle m’offrit ses lèvres.
    
    Mon majeur se glissa dans sa fente et elle poussa un petit gémissement de plaisir.
    
    Elle s’allongea complètement, les yeux mi-clos, les cuisses écartées, et je lui prodiguai un long cunnilingus, pendant qu’elle malaxait ses seins.
    
    Nous roulâmes sur le lit, et je me retrouvais étendue sur le dos. Carine se rua sur moi, et vint chevaucher mon visage.
    
    — Lèche-moi mon minou... Oui, comme ça, j’aime... Pelote mes nichons, j’aime sentir tes mains, feula-t-elle.
    
    Au bout de quelques minutes, nous entendîmes la voix de Bertrand :
    
    — Vous pourriez vous occuper aussi de moi ?
    
    Carine se mit debout, le souffle court, et je l’imitai. Nous nous sommes placées de chaque côté de Bertrand, et nous avons commencé à explorer son corps musclé.
    
    Peu à peu, sa verge retrouvait de la rigidité et, même s’il ne bandait pas complètement, elle avait repris une taille respectable, à l’horizontale. Nous avons décidé de finir de la remettre en forme, par une double caresse buccale.
    
    Nous le regardions, avec un air pervers, tout en jouant de la langue sur la longue hampe, et autour du gland qui gonflait toujours plus.
    
    Carine prenait de plus en plus l’initiative. Elle branlait sensuellement Bertrand, et elle lui demanda :
    
    — Ça te plaît ce qu’on te fait toutes les deux ?
    
    — Oui, grogna Bertrand dans un souffle.
    
    — J’ai très envie de te sucer... avoua Carine.
    
    — Non, ...
    ... moi d’abord, dis-je pour les exciter davantage tous les deux, et je pris la bite dans ma bouche.
    
    Il s’ensuivit un joyeux chahut. Bertrand tomba sur le lit, moi sur lui, et Carine se précipita pour pomper goulûment la verge sombre, dressée maintenant à la verticale.
    
    Je continuais à tenter de reprendre l’avantage, mais Bertrand parvint à se dégager. Nous nous sommes retrouvées toutes les deux, en levrette au bord du lit, présentant nos chattes.
    
    — Bertrand, je veux ta queue ! C’est mon tour, s’écria Carine.
    
    — Mais moi, j’en voudrais bien encore aussi, répliquai-je en riant.
    
    — Non, toi, il t’a déjà fait jouir, c’est à moi !
    
    Bertrand interrompit ce simulacre de dispute en guidant son dard vers la fente offerte de Carine.
    
    J’étais coincée sous Carine, sans pouvoir me dégager.
    
    Bertrand allait et venait maintenant avec force en elle. Secouée par ses coups de boutoir, elle ne pouvait pas trouver son équilibre, et prenait appui de tout son corps sur moi. J’étais obligée de la maintenir par les pieds pour qu’elle ne tombe pas, et je sentais ses seins frotter en cadence contre mon corps.
    
    La position était trop instable.
    
    Bertrand s’installa sur le canapé, et Carine vint sur lui, à califourchon. Je trouvais très excitant de la guider pour que sa chatte vienne s’emboîter sur la bite de Bertrand.
    
    C’était au tour de Carine de se déchaîner, me réduisant au rôle de spectatrice.
    
    Je la contemplais, chevauchant Bertrand comme une furie. Bientôt, elle jouit, tout ...
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