1. saga africa (2)


    Datte: 29/03/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: chloe23, Source: Xstory

    ... glissai un doigt dans mon petit trou. Son contact sur ma rosette sensible était follement excitant, et la sève qui l’enduisait rendit facile et délicieuse la pénétration dans mon cul.
    
    A partir de cet instant, je ne résistai pas bien longtemps à l’orgasme. Je perdis conscience de tout ce qui n’était pas ce plaisir. Mon corps fut secoué de spasmes et se tétanisa, pendant que j’essayais, sans succès, d’étouffer un long cri.
    
    Lorsque la lame de fond se retira, je restai un long moment étendue, ma main caressant encore doucement mon clito.
    
    J’étais dans cette position, lorsque j’entendis frapper doucement à la porte de ma chambre. Mon esprit était encore embrumé par le sommeil et la jouissance, et je ne réagis pas tout de suite. On frappa de nouveau.
    
    — Entre ! dis-je sur un ton amusé, pensant qu’il s’agissait de Carine, logée dans la chambre voisine, et attirée par mes cris.
    
    Je continuais de me caresser, sans pudeur, quand la porte s’ouvrit.
    
    Et là, surprise ! Ce n’était pas Carine, mais le serveur black de la veille au soir qui m’apportait mon petit-déjeuner sur un plateau.
    
    Il faillit lâcher son plateau en me voyant, et s’apprêtait à ressortir de la chambre, mais je l’arrêtai.
    
    — Mais non ! Ne sois pas gêné, ça ne me dérange pas que tu me voies nue. Tu peux poser ton plateau sur la petite table... Que m’apportes-tu de bon ?
    
    — Du thé, du jus de fruits, du pain grillé et des confitures, répondit-il d’une voix assourdie par l’émotion. Ça vous convient, ...
    ... Mademoiselle ?
    
    — Mais oui, c’est très bien. Ne t’en va pas comme un voleur, ajoutai-je en riant en le voyant se retourner vers la porte pour partir. Comment t’appelles-tu ?
    
    — Bertrand.
    
    Je lui posai quelques questions : il avait 22 ans, et il travaillait pour le père de Wendy depuis peu. Il avait toujours peur de faire une bêtise et de se faire renvoyer, car c’était un travail bien payé, et il craignait son patron.
    
    Je ne m’étais pas donné la peine de cacher ma nudité pendant cette conversation, et je remarquai que son regard sur mon anatomie se faisait plus qu’indiscret.
    
    Une bosse commençait à déformer son jean, et il remarqua l’expression de mon regard dirigé sous sa ceinture, aggravant son trouble. Je ne lui laissai pas la possibilité de s’échapper.
    
    — Bertrand, veux-tu me faire plaisir ?
    
    — Bien sûr, Mademoiselle, répondit-il.
    
    — Tu me vois dans le plus simple appareil. Je crois que ton corps est très beau, et j’aimerais que tu te mettes nu également.
    
    — Mais, Mademoiselle ! Si le père de Mademoiselle Wendy apprend ça, je vais me faire mettre dehors !
    
    — Ne t’inquiète pas. Je ne dirai rien et, s’il le savait, je dirais la vérité et ce que je viens de te demander... Allons, dépêche-toi, j’attends ! dis-je sur un ton autoritaire, en m’installant confortablement sur le lit pour profiter de son strip.
    
    Il commença par enlever son tee-shirt, et dévoila un buste athlétique. Je me caressais en le regardant, et je sentis l’excitation monter, quand il baissa ...
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