saga africa (2)
Datte: 29/03/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: chloe23, Source: Xstory
Après notre voyage en avion et mon arrivée mouvementée sur le sol africain, je m’étais endormie aussitôt couchée, dans la chambre que Wendy m’avait attribuée. La propriété de son père était luxueuse et confortable, et notre séjour - à Carine et moi - s’annonçait des plus agréables.
L’air de la nuit était encore très chaud, et je m’étais couchée nue.
Mon sommeil avait été peuplé de quelques songes érotiques. J’avais rêvé que je me promenais en tenue d’Eve sur une plage très fréquentée et bordée de cocotiers, que je faisais l’amour avec Wendy, et le boy que j’avais remarqué hier soir apparaissait régulièrement dans ces images fruit de mon imagination.
Lorsque je me suis réveillée, il faisait grand jour. Il n’y avait aucun bruit dans la maison, et je décidai de traîner un peu au lit. Dans un état de somnolence, mes mains se promenèrent sur mon corps, sans que je l’aie vraiment voulu. Ma paume effleurait doucement mes seins qui commencèrent à durcir.
Au fil de mes aventures, ma poitrine était devenue hypersensible, et toute excitation faisait darder mes petites aréoles.
Mon esprit continuait de vagabonder, revenant sans cesse sur mon serveur de la veille, et l’une de mes mains descendit lentement sur mon ventre. Je faisais durer le plaisir de l’attente. Au bout de quelques instants, mes doigts atteignirent mon pubis, et j’attendis encore un peu pour découvrir un peu mon clito.
Une onde électrique parcourut ma colonne vertébrale. Je gardais les yeux fermés pour ...
... mieux goûter ces sensations que je connaissais par cœur, mais dont je ne me lassais jamais.
Je retardais encore le moment où je glisserais mes doigts dans mon minou. Je le caressais, en malaxant mes seins, et de petits gémissements s’échappaient maintenant de ma bouche entrouverte.
Et arriva l’instant délicieux, où mon majeur, après avoir longtemps excité mon petit bouton et tourné autour de l’entrée de ma grotte, pénétra lentement ma fente trempée d’excitation. Je poussai malgré moi un petit cri.
Mais je contrôlais encore mon désir, pour le pousser à son paroxysme, et en tirer finalement un plaisir complet.
Lorsque je ne pus attendre davantage, je succombais et je laissais libre cours à mes pulsions. Mon doigt allait et venait maintenant dans ma chatte, de plus en plus vite, de plus en plus profondément.
Je perdais tout contrôle. Plus je me caressais, plus ma soif de pénétration augmentait. Je pensais sans cesse à de grosses queues, pilonnant ma moule. Et un deuxième doigt me fut bientôt indispensable.
Je gémissais de plus en plus fort, en retardant l’orgasme que je sentais déjà monter. Je me roulais sur le lit, en me masturbant avec violence, et je me retrouvai à genoux.
Je haletais, à demi consciente, et je me laissai retomber sur le lit, et mes autres doigts rejoignirent mon index et mon majeur, pour me fister. Je sentais des vagues de plaisir m’emporter, tandis que la cyprine coulait jusque sur mon poignet.
Avant de succomber à la jouissance, je ...