Rêveries particulières (1)
Datte: 28/03/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Anthynéa, Source: Xstory
... et tu te colles à mon dos. Lascivement, tu te mets à tourner avec nous, tendrement notre trio navigue sur le tapis de laine de notre salon.
Une de tes mains sur l’épaule de Jean-Michel, je sens la seconde qui enserre un de mes seins et je laisse faire. Puis cette main descend, pour mieux se faufiler sous mon pull moulant et en remontant elle l’entraîne vers le haut. Je sais que mon soutien-gorge est à votre vue désormais mais j’ai chaud et je sais pourquoi vous êtes là tous les deux. La main de notre invité de mon dos se rend dans une région beaucoup plus intime et elle trouve asile sur mes fesses encore couvertes par ma jupe. Elle continue sa descente pour se fixer sur la lisière de mon bas noir, là où l’élastique de celui-ci le fait tenir tout seul sur ma cuisse.
Les doigts s’engagent sur la peau, lisse celle-ci avec un mouvement tendant à les faire remonter. Ils sont à l’orée de ma foufoune et je me colle contre toi, attendant juste qu’ils touchent enfin le but qu’ils se sont assignés. Ça y est ils sont entrés en contact avec ma chatte et ils écartent lentement les lèvres qui commencent à s’humidifier. Toi tu me serres plus fort, devinant sans doute la danse plus intime qui vient de débuter plus bas que ta ligne de vision. Tu te frottes contre mon pubis et je sens déjà la bosse qui déforme ton pantalon, je te sens bien raide, bandant au possible. Les doigts de notre invité eux ont commencé un autre ballet, et je suis investie totalement par l’un d’eux.
Il entre ...
... et sort doucement, avec un mouvement circulaire, quand ta main trouve sur le côté la fermeture de ma jupe. Il te suffit d’une fraction de seconde pour faire descendre le zip et ma jupe flotte sur mes cuisses retenues sans doute par la main qui me fouille. L’homme retire brutalement sa main et ma jupe comme une corolle tombe autour de mes chevilles alors que je tourne dans les pas du slow. Me voici moitié nue, coincée entre deux danseurs qui profite de l’aubaine. Mon pied droit, puis le gauche, enjambe le morceau de tissu que mon mari propulse de la pointe des orteils vers un coin de la pièce.
Michel s’attaque maintenant aux petits boutons de nacre qui ferment provisoirement mon chemisier, et il est lui aussi après son ouverture, retiré en totalité de mon buste, pour aller rejoindre la jupe solitaire. Les mains sur le soutien-gorge, fouillent dans les bonnets et laissent apparaître mes seins lourds et attirants. Dans mon dos, deux doigts tendent les bretelles et en trouvent le mécanisme d’ouverture, et lui aussi glisse sur mes bras nus. Il part vite dans la direction du reste de mes vêtements.
Etrange situation où je suis en bas et escarpins entrent deux hommes habillés qui me tâtent, me tripotent de partout. Je suis gentiment guidée vers le sofa et là, vous me couchez sur celui-ci, avec une rapidité telle que je n’ai pas le temps de protester. Tu te déshabilles devant moi alors que Jean-Michel, lui continue son exploration des deux mains. Elles ont pris possession de mon ...