Eta gaur ezkontzeko hitza eman du. Et la voilà fiancée. (1) - Histoires de Sexe

Eta gaur ezkontzeko hitza eman du. Et la voilà fiancée. (1)

... lorsque soudain une petite décharge me parcourt le corps. C’est un test paraît il ! Test réussi, ça fonctionne, et bien ! Vibration rapide et pêchue alternée par une très lente. Essai validé, pour lui comme pour moi sauf pour le choix de ma tenue. Ces quelques oscillations en moi, bien que joyeuses, provoquent une petite tâche de joie sur mes dessous. En soi, ce n’est pas gênant mais le port de robe devient obligatoire, je ne veux pas prendre le risque de mettre un jean et de permettre a quiconque de se rendre compte de quoi que ce soit.

J’ai dans mon dressing une petite robe noire parsemée de fleurs, elle est parfaite pour l’occasion, très bien coupée je ne l’ai encore jamais portée. Elle est assez décolletée au niveau de la poitrine mais pas ostentatoire, en effet, je fais partie de celles qui n’ont pas grand-chose à montrer. Au niveau de la taille, une petite ceinture vient se poser sur mes hanches marquant ainsi un peu plus ma silhouette et mes petites fesses rebondies. Elle s’arrête au niveau de mes cuisses, se baladant au gré de mes mouvements ou de la brise. Ma peau laiteuse marque bien le contraste avec le noir du fin tissu tandis que ma ceinture légèrement orangée rappelle significativement ma chevelure. Robe classique, bohème mais chic, parfaite !

Mes bottines aux pieds enfin prête, nous voilà partis pour le restaurant, lui armé de son téléphone et moi érigée de ma robe bouclier. Nous sommes donc en retard et les derniers arrivés. Nos amis sont déjà installés ...

... sur la terrasse à une grande table. Il y a là une dizaine de personnes, quelques collègues et leurs compagnons, dont un avec leur jeune enfant. Au moment de se dire bonjour, tout le monde se lève pour nous saluer.

Première bise, premier sursaut ! J’ai bien compris ce qu’il se passe dans ma petite culotte et je fais ce que je peux pour ne rien laisser transparaître. Si la vibration est moins intense que celle à la maison, elle est bien suffisante pour ne pas me laisser de marbre. Je lance un regard furtif, amusé mais aussi de mécontentement à mon compagnon. Un sourire. Voilà bien sa seule réponse, je pensais naïvement qu’il allait l’utiliser seulement à table. Je suis dans le faux.

Deuxième bise, second sursaut ! Rebelote mais avec un rythme différent. Très soutenu un court moment et très oscillant le reste du temps, le tout en alternance. Sûrement très agréable dans le calme de son chez soi, cet appareil apparaît comme une création du diable en public. J’ai bien compris que les salutations vont durer un petit moment vu le monde présent, et que ma douce torture allait évoluer à chaque accolade.

Nouvelle personne, nouvelle palpitation. Plus singulières les unes des autres. Mon compagnon se réjouit de la situation, je le sens sans même le regarder. Je n’en ai pas besoin, il vient lui même signer ses méfaits. Une petite touche dans le dos, un bisou dans le cou ou encore une caresse au creux de mes fesses est comme un signal annonciateur d’un nouveau changement. Il faut ...