Laina - chapitre 2 - Histoires de Sexe

Laina - chapitre 2

... saisissant avec ladite pince, chacun à son tour, je les fais émerger à l’air libre. C’est mignon et marrant ces deux framboises qui semblent posées sur le haut du pull. Du fameux tiroir, je tire une courte chaîne munie de deux pinces à seins réglables. Je la passe dans l’anneau du collier et, ensuite, chaque pince pend en s’arrêtant quelques centimètres au-dessus des tétons.

Je demande à Laina, de bien vouloir disposer ses mains en conque sous sa poitrine afin de la remonter. Docilement, elle s’exécute. La hauteur idéale étant atteinte, je lui demande de rester ainsi, sans modifier sa position quoiqu’il arrive. Elle acquiesce dans un souffle, je sens son inquiétude et son excitation monter. Il ne me reste plus qu’a fixer une pince sur chaque téton. Laina a un petit cri suivi d’un soupir à chacune des mises en place.

— C’est bon ! J’aime ce mélange de douceur, de douleur et d’étirement, lâche-t-elle.

Je les ai convenablement serrées afin qu’elles restent en place, mais pas trop afin d’être supportées raisonnablement assez longtemps.

— Ce sera ton soutien-gorge du jour, ma Douce. Maintenant, veux-tu te mettre à genoux sur le lit en levrette. … Voilà, recule un peu. C’est parfait.

Doucement, j’écarte ses deux globes qui me font face. L’œil du cyclope me regarde et palpite, inquiet. Je m’en approche. Je dépose de tendres baisers sur ses belles « joues » rebondies. Petit à petit, je suis sur son petit plissé, que j’embrasse, lèche, pénètre un peu du bout de ma ...

... langue, puis de mon index, après forte lubrification de ma salive, en finissant par mon pouce… Ce petit jeu dure suffisamment pour que ma Chérie gémisse et commence à mouiller sérieusement.

— Oh non ! Ne t’arrête pas encore.

Venant tout droit du « tiroir coquin », j’extrais un rosebud de taille moyenne, que je porte à l’entrée de son vagin afin de bien le lubrifier de sa cyprine et qu’ensuite je présente à son œillet. J’appuie fermement. Laina se détend, elle est habituée à différentes pénétrations anales. Progressivement il s’engage et d’un coup, « plop » le voici en place.

Le « coquin de tiroir » contient d’autres accessoires. J’ai un moment d’hésitation. Godemiché, boules de geisha ou je la fourre avec une écharpe d’angora ? Finalement, j’opte pour les boules de geisha, idéales pour la marche. Elles s’introduisent sans difficulté dans son vagin, déjà largement lubrifié. Et ce n’est que le début !

J’attrape, devant et derrière, les deux sangles du body que je boutonne sur son périnée, dans l’entrejambe. L’ensemble est tendu, pénètre légèrement sa raie culière et s’immisce entre ses lèvres, maintenant en place les accessoires. J’ai omis de préciser qu’à l’intérieur, juste à l’aplomb de son clitoris, j’ai fait coudre un gros pompon, du même mohair à longs fils, dont vous devinez l’usage.

— Maintenant, tu peux te remettre debout, dos à moi, pour me permettre d’achever ton harnachement.

Elle s’exécute. Je lui demande d’ouvrir grand sa si jolie bouche. Je lui ...