Laina - chapitre 2 - Histoires de Sexe

Laina - chapitre 2

... la glace de la penderie située derrière elle.

— Merci ma douce, lui dis-je tout en lui rendant son sourire, mais reste ainsi, ne bouge pas.

De ma main droite, je lui administre quelques claques sonores sur ses rondeurs en lui expliquant que mon attente fut bien longue, que j’ai faim et que si elle ne souhaite pas que je la croque, elle a intérêt à prendre grand soin de moi. Surprise, elle hausse les épaules en rejoignant la cuisine. « Même pas mal, espèce d’hypocrite qui se rince l’œil en me « zyeutant » dans le miroir. Tu crois peut être que je n’ai pas repéré ton manège ? ».

Revenue avec son plateau, c’est avec un certain contentement que je reluque le rose plus soutenu de son séant au droit de la petite fessée. Tout en dégustant ce brunch, j’ai réfléchi à la façon de harnacher ma p’tite femme, pour son plaisir et le mien ! Pendant que Laina rapporte les plateaux à la cuisine, les vide, les débarrasse… pour ensuite s’enfermer dans la salle d’eau afin de faire sa toilette, j’ai étalé sur le lit les différents et premiers éléments de son équipement de randonneuse soumise.

Ma Laina, toute nue, toute fraîche, toute propre et parfumée, arrive, s’approche langoureusement de moi, se glisse dans mes bras, d’une main titille mes tétons et de l’autre commence à prendre mon sexe en main.

— Désolé, ma Chérie, pas de câlins ce matin. Nous n’avons plus le temps et j’ai prévu un autre timing, avec, en premier, si j’ose dire l’échauffement.

Il me faut un certain sens du ...

... dévouement pour refuser ses avances. Non ?

— Ah bon ! La fessée de ce matin, ce n’était pas cela l’échauffement dont tu me parles ? me répond-elle, ingénument.

En découvrant tout ce qui est disposé à son attention, elle comprend mieux ce qui l’attend et son visage rosit en imaginant tous les plaisirs à venir.

En premier, je lui fais enfiler un body moulant, à manches longues, en mohair, épais, d’un joli et tendre bleu clair tirant sur le gris. Le col déplié mesure environ un mètre. Replié en deux, il couvre la tête, en quatre il arrive sur la bouche et en huit cela donne un énorme col roulé sous le menton, comme une minerve. Je commence par le replier en deux. Laina est aveugle et ne peut plus observer mes préparatifs. Surprises…

J’en profite pour ouvrir, silencieusement, le tiroir que nous appelons « coquin », celui qui recèle quelques accessoires que l’on ne trouve pas partout et qui sont utilisés dans le secret des alcôves. Je sais que vous me comprenez ! D’abord, un large collier de cuir, avec un anneau devant, vient emprisonner son cou, par-dessus le col replié. À la suite, j’effleure sa poitrine, pétris légèrement ses seins, agace ses tétons, les pince à travers le lainage, les étire et m’arrête. Ils pointent suffisamment.

— Déjà, dit-t-elle dans un soupir, c’était si bon !

Deuxième étape, muni d’une pince à épiler aux extrémités arrondies, afin de ne pas la blesser, j’écarte les grosses mailles, juste à l’emplacement ou marquent ses tétons, puis les ...