1. Du mauvais coté 02


    Datte: 20/03/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byDesonrage, Source: Literotica

    ... mais il me fait ricaner tandis que je monte l'escalier. Je sonne à la porte et madame m'ouvre en personne. Je m'étonne de l'absence de la bonne et elle me répond que craignant de crier, elle lui a donné son après midi.
    
    -Parfait, alors passons au salon. Mettez vous nue.
    
    Elle dénoue sa ceinture et sa robe choit sur le tapis épais devant le petit canapé. Le chemisier termine sur un fauteuil. Elle porte une culotte simple et un soutien gorge enveloppant.
    
    -Vous avez pensé à la vaseline?
    
    Elle hoche la tête, au bord des larmes, et va, en sous vêtements chercher un tube dans la chambre.
    
    Je lui fais signe de se mettre à genoux sur le tapis. Elle me regarde sans comprendre.
    
    -Virez le slip et le soutien, et mettez vous à genoux sur le tapis.
    
    Elle dégrafe sa lingerie et libère ses lourdes mamelles, puis fait glisser son cache cul sur le sol. Elle se place ensuite à genoux devant l'élégant canapé et s'y pose. Son cul occupé tout mon regard. Je me baisse et caresse les globes jumeaux . Je pèses sur ses reins et elle se cambre un peu. Ses fesses s'écartent et son étoile serrée apparaît dans la grande lumière du soleil de l'après midi. Je presse le tube, une noisette de gras atterrit sur mon doigt. Je graisse le pourtour de la rosette, et je la sent frémir. Je me graisse de nouveau le doigt et pousse au centre de l'étoile. L'orifice résiste à mon entrée, mais je force. Ses chairs cèdent alors qu'elle pousse un gémissement sonore. Je fais aller et venir mon majeur, ...
    ... rajoutant même un peu de gras. Je me redresse et m'essuie le doigt avec une serviette. J'enlève mes bretelles et mon pantalon se retrouve bientôt plié sur un fauteuil. Je bande dur comme fer et ses sanglots étouffés sont une douce musique à mes oreilles.
    
    Je me place à genoux derrière elle et pose mon gland graissé sur la petite porte de derrière de cette bourgeoise sont le chignon se défait sur sa nuque. Je pousse doucement, et à bite se fait une place dans le fondement rétif. Quand mon gland est entièrement disparu, elle pousse un cri. Puis un second quand mon pubis vient heurter son coccyx. Je reste en place, tandis qu'un long gémissement plaintif lui échappe. Je commence mes va et vient sans douceur mais sans violence non plus, et elle ne cesse de gémir comme un animal blessé. Sentant le plaisir monter dans mes reins, j'accelere et là, elle crie sa douleur et sa honte, d'être pilonnée comme une pute. Mon orgasme me semble interminable et j'ai l'impression de cracher des jets de feu dans ses reins.
    
    Je me retire, et la rondelle souillée reprend son aspect initial. Quelques petites tâches marron souillent mon membre, je m'essuie avec la serviette.
    
    -Bien, vous avez tenu parole. Mettez votre gosse au pas et nous ne nous reverrons plus.
    
    Elle tourne vers moi son visage ravagé de larmes. Un éclat de morve a même coulé de son nez. Je sors peu après sur le boulevard en sifflotant.
    
    Au bureau, je trouve une belle et grande blonde en tailleur strict.
    
    -Madame, que puis-je ...