1. Du mauvais coté 02


    Datte: 20/03/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byDesonrage, Source: Literotica

    ... l'impression de l'inonder de foutre. C'est délicieux. Elle déglutit avec peine. Je me recule et elle me regarde de ses yeux tristes au dessus de ses joues où traînent des lignes de son mascara emporté par ses larmes.
    
    Je me rajuste. Je redresse son menton au creux de ma main, et la regarde dans les yeux.
    
    -Ne t'inquiètes pas, Olivier n'en saura rien.
    
    -Merci. Souffle -t'elle.
    
    Le jeune homme se redresse de toute sa taille quand j'entre dans la cellule où il croupit depuis le matin. Je le regarde dans les yeux.
    
    -Viens.
    
    Il me suit jusque dans la cour du bâtiment. Une voiture noire y est garée, deux hommes en imperméables escortent un jeune homme au visage tuméfié. Il le jettent à l'arrière de la berline qui démarre peu après.
    
    -C'est Martin. Il ne reviendra pas. Ca aurait pu être pareil pour toi.
    
    Olivier me regarde avec de grands yeux.
    
    -Tu peux continuer tes activités, mais méfies toi, tout le monde n'est pas aussi coulant que moi.
    
    Je le dépose au pied de son immeuble. Trois jours plus tard, je reviens à la même adresse. La bonne m'introduit sans cérémonie et me laisse dans le salon. Mme Rivière me regarde avec intensité.
    
    -Cette fois-ci, on passe dans la chambre.
    
    Elle s'allonge sur le lit et relève sa jupe. Prévoyante, elle n'a pas mis de culotte. Elle écarte les jambes et je la baise sur le lit conjugal. Elle couine un peu, mais bordel, baiser cette bourgeoise qui me toisait avec mépris dans la rue, c'est un bonheur. J'ouvre son chemisier et je ...
    ... relève son soutien gorge. Elle a de beaux gros seins comme je les aime. Au moment fatidique, je me retire et la chevauche. ma semence lui inonde le visage et coule sur son nez, son front et sa joue gauche. Elle pleure d'humiliation.
    
    Je ricane tandis qu'elle se débarbouille avec le drap. Je m'allume une cigarette.
    
    -C'est bien. Vous tenez parole. Je reviendrai la semaine prochaine. N'oubliez pas la vaseline.
    
    Elle me jette un regard atterré et je sors sans rien dire.
    
    Leur réseau d'espions est organisé comme le théâtre aux armées. Je prends un après midi avant de les faire tomber. Je repère les hommes mariés avec une belle femme et les pères de famille avec une fille en âge de se faire tringler. Il n'y en a que deux.
    
    C'est pas grave, il faut bien que la Gestapo travaille un peu.
    
    En fin d'après midi, je repasse chez moi. Maleka, ma petite polack, est installée à demeure. Sa mère n'a pas passé l'été, faut croire qu'elle était vraiment malade. Le gamin est en pension chez les curés en province, au moins, il mange à sa faim. Maleka reste avec moi, pour assurer sa survie à elle. Elle est toujours complètement à mon service, n'attendant que mon signal pour relever sa robe ou se mettre à genoux sur le parquet afin de me donner sa bouche. Elle se laisse faire avec passivité, le regard dans le vague. La nuit, elle chauffe mon lit de son corps menu.
    
    C'est le bonheur.
    
    Mardi, c'est le moment de faire sauter le dernier barrage de la Rivière.
    
    Ce calembour est naze, ...