1. Du mauvais coté 02


    Datte: 20/03/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byDesonrage, Source: Literotica

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    Paris était une fête. Les allemands avaient rouverts les lieux de plaisir et de débauche pour faire de la capitale de leur vieil ennemi un lieu de détente et de repos des troupes qui traversaient l'europe comme un fleuve de fer et de feu.
    
    L'occupant attendait de la police qu'elle maintienne cette plaisante villégiature en état. Je passe donc un certain temps à fréquenter des directeurs d'établissements plus ou moins licencieux afin d'assurer que ces lieux soient sûrs et accueillant pour les vainqueurs.
    
    Les allemands commencent à être ennuyés par la résistance. Par une belle après midi de septembre, je me présente à la porte de l'appartement cossu de monsieur et madame Rivière. Une bonne au visage rond vient m'ouvrir, et ouvre de grands yeux devant ma carte de police.
    
    La maîtresse de maison est en train de boire un thé au salon, je la salue respectueusement et l'informe que je venais lui parler. Elle congédie la bonne d'un geste et je m'assoie dans un fauteuil élégant.
    
    -Votre fils s'appelle bien Olivier?.
    
    Elle approuve et précise que ce brillant élève est la fierté de la famille.
    
    -Il est dans nos cellules. Dis-je
    
    Elle prend un air outré, et jette un regard sur le téléphone posé sur un guéridon
    
    -Je vous déconseille de prévenir monsieur Berthelaud, à la préfecture. Il s'agit d'une affaire impliquant les allemands, vous ne réussiriez qu'à le compromettre. On a trouvé un mot codé dans son cartable, il est mal engagé. Je pense qu'il oeuvre pour un ...
    ... réseau anglais d'espionnage.
    
    Ses yeux se mettent à briller de larmes retenues, elle sait que la vie d'Olivier est terminée.
    
    -Je suis venu vous proposer de nous arranger.
    
    Elle hoche la tête, éperdue.
    
    -Je ne veux pas d'argent.
    
    -Que voulez vous, alors?
    
    -Vous.
    
    Elle ouvre de grands yeux; elle ne comprend pas.
    
    -Votre bouche, et vos autres attributs féminins me rendront distrait, et Olivier dînera chez lui ce soir.
    
    Elle baisse les yeux tandis que ses joues s'enflamment. Je me lève et marche jusqu'à la bourgeoise prostrée sur le petit canapé.
    
    -Faites vous même.
    
    Elle n'esquisse pas même un mouvement. Je m'y attendais.
    
    - Tant pis. Lachais-je avec un gros soupir.
    
    -Attendez! Gémit-elle. C'est d'accord.
    
    Elle tendit sa main vers ma braguette, défit maladroitement les boutons, mon pantalon se baissa un peu et quand elle glissa ses doigts dans l'élastique, ma bite se dressa à quelques centimètres de son visage.
    
    Elle me regarda d'un air interrogateur.
    
    -Fais ce que tu as à faire, dis-je.
    
    Elle m'embrasse le gland à plusieurs reprises et je comprends qu'elle n'avait jamais sucé de bite. Je lui fais ouvrir la bouche et engloutir mon chibre. Elle manque de vomir mais commence à aller et venir le long de ma hampe avec bonne volonté et inexpérience. Les dents me raclent par instant et la langue ne fait pas grand chose, mais putain ce que c'est bon. Je sens ma queue gonfler avant la décharge. Je lui bloque la tête et lui ordonne de bien tout avaler. J'ai ...
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