Notre ami Pierre sombrait vers la dépression - Histoires de Sexe

Notre ami Pierre sombrait vers la dépression

... pointés vers le sexe ouvert de ma femme, le souffle court, Pierre avait visiblement du mal à se dominer et refréner son envie impétueuse de plonger sa queue sans ménagement dans le ventre offert.

D’une main il étreignit son chibre puis s’agenouilla entre les cuisses d’Allison. C’est à ce moment qu’elle ouvrit les yeux. Elle lui sourit en signe d’accord mais lui, tourna son regard vers moi comme pour attendre le mien.

Il n’était plus temps de reculer. Un oui de la tête, le fit poser son gland dans l’entrée du puits d’amour de ma chérie. Chacun retenait son souffle, c’était la première fois que je voyais un autre sexe que le mien ouvrir les lèvres de celui de ma femme puis s’engouffrer dans son ventre jusqu’à la garde. Le moment n’était pas anodin, d’une excitation extrême aussi.

Enfin, je perçus une légère avancée de son bassin. Le gland disparut entre les lèvres. La hampe suivit tandis que ma femme fit entendre sa voix :

— Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Prends-moi. Mets-la-moi bien au fond. J’ai envie de sentir ta queue dans mon ventre. Prends-moi.

J’avais déjà entendu ma femme prononcer ces mots mais là ce n’était pas à moi qu’elle s’adressait. Un petit pincement au cœur m’étreignit lorsque le sexe atteignit sa progression maximum et, lorsque je réalisais qu’elle avait utilisé les mêmes mots avec Pierre qu’avec moi.

Il resta un moment planté au plus profond de son ventre puis, commença à bouger, lentement, très lentement, savourant chaque centimètre ...

... de l’intimité de ma femme. C’est elle qui s’impatienta :

— Plus fort, s’il te plaît. Plus vite. J’ai envie de sentir ta puissance dans mon ventre. Fais-moi crier, fais-moi jouir.

Pierre visiblement sûr de lui, lui répondit de ne pas s’inquiéter, qu’il la ferait jouir et qu’elle en redemanderait car si elle aimait le sexe, elle allait en avoir.

Je souris en entendant ces mots car Allison sans être une affamée de la bite, a du répondant dans ce domaine et plusieurs fois, c’est moi qui ai dû déclarer forfait, épuisé, n’arrivant plus à bander pour la satisfaire.

Pierre faisait maintenant coulisser sa queue dans le ventre d’Allison. Je regardais son engin entrer et sortir, ne pouvant m’empêcher de penser qu’effectivement elle était bien plus longue que la mienne. Allison d’ailleurs confirma mes constatations en apostrophant son baiseur.

Les yeux dans les yeux, ils commencèrent à se parler tout en baisant :

— Tu me fais du bien avec ta grande queue dans mon ventre. J’adore.
— Je savais que tu allais aimer prendre ma grande bite dans la chatte.
— Ça faisait longtemps que tu avais envie de me la mettre non ?
— Oui, j’avoue. Ça faisait longtemps. Jamais je n’aurais cru ça possible.
— Et maintenant ?
— T’es trop bonne. Jamais je n’oublierai ça. Laisse-moi en profiter le plus longtemps possible.
— Vas-y mon chéri. Prends-moi. Je suis toute à toi. Profites-en mais n’oublie pas de me faire jouir.
— T’inquiète pas. Je sais me tenir.

Je n’en revenais pas qu’ils ...