Notre ami Pierre sombrait vers la dépression
Datte: 19/03/2019,
Catégories:
fhh,
extracon,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
couple+h,
Auteur: Honey_lover, Source: Revebebe
Mon histoire commence un soir où nous recevons la visite de Pierre. Depuis quelques semaines, il est veuf. Il était avec sa femme, ce que l’on appelle des amis proches et nous avions habitude de nous voir très régulièrement.
Ce soir-là, Pierre n’avait pas le moral et nous ne savions pas comment essayer de le détourner de ses sombres pensées. Seule mon épouse Allison, réussissait à rallumer un peu de lueur dans ses yeux lorsqu’elle le prenait dans ses bras en se serrant contre lui un peu plus qu’elle ne devrait, ou qu’elle se penchait en avant le laissant plonger son regard vers ses seins toujours libres de toute entrave.
Une confidence en amenant une autre, Pierre finit par nous avouer qu’en plus du chagrin engendré par le départ d’Odile, le manque de sexe qu’il pratiquait quasi quotidiennement était encore plus dur pour lui. Ce faisant, son regard vers l’entrejambe d’Allison, négligemment installée sur le canapé face à lui, les jambes entrouvertes, se passait de commentaires.
C’était sûr, Allison lui faisait envie, ça sautait aux yeux.
Consciente de l’effet qu’elle lui faisait et du spectacle qu’elle lui offrait, celle-ci, au lieu de refermer ses cuisses, se laissa glisser vers le bord du canapé en les ouvrant un peu plus.
La manœuvre fit remonter le peu de tissu qui lui cachait son string. Pierre, qui n’avait rien perdu de la manœuvre, les yeux fixés au sexe de ma femme protégé par une ridicule bande de tissu de surcroît ajouré, nous répondait à peine, ...
... subjugué par ce qu’il voyait ou plutôt imaginait.
De longues secondes s’écoulèrent dans le silence. Un moment d’une rare sensualité.
Comme dans un rêve je l’entendis dire à ma femme :
— Sans cet affreux tissu tu serais encore mieux. Penses-tu que ton homme serait d’accord si tu l’enlevais ?
Celle-ci leva ses yeux vers moi, m’interrogeant du regard. Sans savoir pourquoi, emporté par l’ambiance affreusement sexuelle qui régnait depuis quelques minutes, j’acquiesçai d’un mouvement de tête.
Allison sourit immédiatement puis, sûre d’elle et de son charme, souleva ses fesses et d’un geste fit glisser son string le long de ses jambes pour le jeter par-dessus son épaule.
Puis, tranquillement, elle se réinstalla et ouvrit à nouveau ses cuisses, exposant maintenant sa chatte complètement glabre au regard de notre ami.
Les yeux rivés vers le sexe sans protection, comme si je n’existais pas, il se leva pour s’agenouiller entre ses jambes. En prenant appui sur ses cuisses, le nez à quelques centimètres de ce sexe offert complaisamment, il huma bruyamment l’odeur intime qui lui montait au nez.
— J’adore ton odeur. Ça m’excite. J’ai toujours su que tu étais chaude.
Ma femme ne répondait pas, les yeux fermés elle appréciait la caresse de son souffle sur ses lèvres intimes. Une de ses mains partit vers la fourche de ses cuisses où, avec deux de ses doigts elle écarta les lèvres de son sexe, libérant immédiatement un mince filet de mouille. Il fila en direction de son anus ...