1. Notre ami Pierre sombrait vers la dépression


    Datte: 19/03/2019, Catégories: fhh, extracon, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral couple+h, Auteur: Honey_lover, Source: Revebebe

    ... mais d’un coup de langue, Pierre stoppa sa progression.
    
    — Tu sens bon mais ton goût est encore meilleur.
    
    Sans plus attendre il posa ses lèvres sur le fruit offert d’Allison. Sa langue partait déjà à la découverte des chairs intimes, passant et repassant dans les replis aidée par des doigts qui maintenaient le sexe entrouvert.
    
    Allison poussait des petits cris témoignant de l’émoi qu’elle ressentait à être ainsi fouillée par une langue qu’elle ne connaissait pas. Il avait l’air de bien s’y prendre car en peu de temps, les frémissements qui commencèrent à lui parcourir le ventre m’annoncèrent qu’elle montait inexorablement vers son premier orgasme.
    
    Je la connaissais tellement bien que le moindre de ses gestes, le moindre frémissement de ses muscles me renseignait sur le parcours qui lui restait à faire pour exploser.
    
    Pour l’heure, les gémissements qu’elle expulsait avec de plus en plus de peine de sa gorge, le souffle court, les contractions de plus en plus soutenues des muscles de son ventre, étaient les signes d’un orgasme imminent.
    
    Je m’approchai d’elle et, me penchant tout près de son oreille, je lui soufflai :
    
    — Jouis, mon amour, laisse-toi aller. Jouis.
    
    À peine ma phrase terminée, Allison explosait, criant son bonheur, secouée par d’impressionnants tremblements de ses membres inférieurs, tétanisés par la décharge de plaisir.
    
    Comme lorsque la jouissance est puissante, un jet de cyprine éclaboussa le visage de son lécheur, visiblement surpris ...
    ... par le phénomène.
    
    — Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Je jouis, mon cœur. Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis. C’est trop bon. Trop bonnnnnn.
    
    Je la regardais prendre son pied grâce aux œuvres de notre ami. Elle était belle, encore plus belle dans la jouissance.
    
    Pierre continua à la lécher encore un peu, l’accompagnant jusqu’au bout de son plaisir puis se redressa. Il avait dû en profiter pour déboucler sa ceinture et se déboutonner pendant qu’il la suçait car, à peine debout, son pantalon dégringola à ses pieds. Je découvris, surpris, qu’il ne portait pas de slip ; son sexe, raide comme du bois, se dressait fièrement en direction de son nombril.
    
    À côté de mon épouse qui récupérait doucement, les yeux fermés, j’avais tout le loisir d’observer le pieu qui allait dans quelques secondes s’enfoncer dans son ventre.
    
    Il était long, bien plus long que le mien mais beaucoup moins épais. Le gland lui aussi, me semblait beaucoup plus long, ce qui lui donnait l’air d’un serpent prêt à se faufiler partout où cela serait possible. Du méat, coulait en abondance, ce filet de mouille propre aux hommes lorsqu’ils sont excités.
    
    L’envie de le prendre en main pour étaler la mouille et lubrifier le gland m’effleura l’esprit mais je me retins, de peur que ce geste soit mal perçu par notre ami.
    
    De lui-même, il étalait d’ailleurs le liquide sur son gland, le rendant tout à coup encore plus brillant, plus agressif, plus gros aussi.
    
    Ses yeux ...
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