Cours en collectif - Histoires de Sexe

Cours en collectif

... pour montrer l’attrait de leur giron et mille autres agaceries qui le laissent de marbre.
— Tout comme il peut me faire une totale confiance, je n’ai jamais douté de mon mari.
— Votre époux, Brigitte, votre époux provoqué, aguiché, taquiné, affriolé, émoustillé, incité, tenté, flatté, piqué, échauffé, allumé ; votre époux vous reste attaché et ne regarde que sa Brigitte, n’est-ce pas le signe de votre fraîcheur ? Il est si insensible à nos manœuvres que nous doutons de nos appas, charmes et délices ; épreuve douloureuse quand on forme sa psyché féminine. D’après vous, pourquoi se prive-t-il d’ébats ancillaires avec celles dont vous avez vanté les qualités ?
— Pour la stabilité de votre avenir conjugal, sachez que pour éviter de voir son homme courir, il faut chaque matin lui couper les pattes.
— Votre conseil est précieux et nous n’hésiterons pas à l’appliquer et même à vérifier queBis repetita placent. Mais au sujet de votre frigidité,
— Bravo pour les alexandrins, mais je suis mariée, fidèle à mon mari, il m’est impossible de mettre en péril une union si parfaite. Un jour, vous comprendrez ma position.
— Brigitte, vous pouvez compter sur notre absolue discrétion, nous sommes trop bien ici pour attenter à l’harmonie de votre couple.
— Loin de moi l’idée de vous croire idiotes.
— Gilles, dont les parents vous ont délégué les devoirs de protection, Gilles n’ira sur aucun toit clamer quel trio l’a éduqué. Il n’ira pas de lui-même se fermer une porte aussi accueillante, ...

... se condamner à aller dépenser son argent de poche avec des professionnelles au maquillage masquant l’usure, travaillant à la chaîne et sanitairement douteuses alors qu’il dispose ici d’une équipe pédagogique fraîche, entièrement disponible, d’une totale ouverture, aux compétences multiples et de grande propreté ; qu’il aura, sans bourse délier, en ces lieux bourses vidées, et ce, autant qu’il voudra, ainsi que bonne table assurée et abondance d’affection ; le tout dans un environnement culturel évolué, avec un langage choisi !
— Si je dois me sacrifier pour la cause de l’enseignement, c’est avec regrets que je me soumets à ma propre injonction. Je suis donc disponible, mais à mon corps défendant. À l’avenir, on ne m’y reprendra surtout pas !

Oubliant autant de courtiser que de qualifier, Gilles vient me déshabiller et ne refuse pas l’aide des professeurs. Je trouve beaucoup de douceur dans leurs mains, leurs gestes et les bécots qu’elles apposent un peu partout sur mon corps : il suit le mouvement en s’améliorant progressivement.

Lorsque ma poitrine est découverte, chacune s’empare d’un de mes seins et s’efforce d’en avaler l’entièreté. Abandonnant un peu l’objet de ses succions, Françoise m’avoue rêver d’avoir une poitrine petite comme la mienne. Je serre sa tête et demande de ne pas oublier Gilles, que je vois complètement diminué. Catherine va l’emboucher alors qu’il est toujours tout petit. J’envie sa bouche progressivement envahie par ce pénis devenant phallus et ...