Cours en collectif
Datte: 18/03/2019,
Catégories:
f,
fh,
ff,
fffh,
jeunes,
profélève,
soubrette,
Oral
69,
jeu,
strip,
pénétratio,
init,
poésie,
exercice,
Humour
Auteur: Brigitte de L., Source: Revebebe
... nous allons arrêter là le test, nous en savons assez.
— Brigitte, quelle est la suite du programme ? demande l’impatiente Catherine.
— Gilles a obtenu une moyenne générale inférieure à 5 sur 20. Non seulement il a un grand besoin de formation et devra revenir pour de nombreux cours…
— … Bien fait pour lui.
— Catherine, vous perdrez votre statut de professeur si vous manifestez de la méchanceté et irez la passer en battant dehors les tapis. Gilles non seulement reviendra, mais sera sanctionné. La punition sera celle indiquée par les deux enseignantes, leur décision devra s’appliquer. Quelle qu’elle soit, ce sera une décision souveraine, ainsi en ai-je décidé.
Les deux profs demandent à sortir dans le couloir pour se concerter. Les aréopagites en tenue de gymnaste tranchent vite et rentrent après trente secondes de délibération. C’est Françoise qui se met en devoir d’annoncer la terrible sentence :
— Élève Gilles, vous êtes condamné à entreprendre Brigitte jusqu’à l’accomplissement de l’acte final de l’œuvre de chair.
— Comment voulez-vous, à mon âge, que je fasse envie à un aussi beau jeune homme qui a auprès de lui deux jolies jeunes filles. J’ai vingt-six ans, deux grossesses ont déformé mon bassin, trois enfants altéré ma poitrine. Un jeune garçon ne peut pas avoir envie d’unir sa jeunesse et sa vitalité avec un corps qui fut engageant, mais ne l’est plus, ayant perdu tous ses attraits. La punition est exagérée, inhumaine. Il est interdit de dégoûter un ...
... débutant en l’obligeant à la besogne sur un vieux cageot comme moi, devenu frigide avec l’âge. Il pourrait en virer sa cuti, ce serait très grave !
— Cela ne lui empêcherait pas de faire sa vie.
— Aucun tribunal ne peut condamner une personne étrangère aux faits et la femme que vous voulez priver des faveurs de Gilles serait victime de cet acte contre nature. En tant que conseillère principale d’éducation, j’oppose mon veto.
— Taratata. Brigitte, notre décision doit s’appliquer, c’est vous qui l’avez dit : « Quelle qu’elle soit, ce sera une décision souveraine ».
— Mon âge…
— … Votre âge, quelle blague ! Où vos grossesses vous ont-elles marquée ? Aucune de nous deux ne peut porter vos chouettes tangas, slips ou culottes. L’effet des tétées, où s’est-il niché ? Nous aimerions bien mettre vos magnifiques soutifs, bustiers ou brassières, mais n’arrivons jamais à les fermer. Ce n’est pourtant pas faute d’avoir essayé chaque pièce, entrant comme sortant de la buanderie.
— Je comprends votre frustration et vous accompagnerai pour équipement, à mes frais.
— Brigitte, nous vous en remercierons de toutes les façons qui vous plairont, mais vous n’échapperez pas si facilement à votre propre décision. Si vous étiez si décatie, il y a longtemps que le jeune, beau et dynamique entrepreneur Didier serait allé courir, d’ailleurs pas très loin. Ne dispose-t-il pas, dans sa maison même, de deux accortes jeunes employées, en tout avenantes, qui savent le frôler ingénument, se pencher en avant ...