1. Le bac en poche


    Datte: 15/03/2019, Catégories: fh, ff, fbi, amour, pénétratio, couple, Auteur: Caval, Source: Revebebe

    ... c’est autre chose…
    — Tu vois, je serais plus enclin à accepter que tu prennes un amant plutôt que de te voir faire l’amour avec une femme.
    
    Voilà bien les hommes : ils sont tellement imbus de leur virilité, qu’ils ne peuvent pas accepter que deux femmes puissent se donner du plaisir sans avoir recours à leurs services. Ils ne semblent pas pouvoir comprendre que pour jouir, une queue ne nous est pas absolument nécessaire et que des mains expertes peuvent très bien faire l’affaire.
    
    Les performances sexuelles de mon amant s’améliorèrent sensiblement. L’air de rien, je lui appris quelques techniques pour me satisfaire pleinement et pour retenir la propre jouissance. Ainsi le kamasoutra propose la position d’Andromaque pour rééduquer l’éjaculation prématurée. Lorsque ma vulve était bien lubrifiée par les caresses de mon amant, je venais m’enfoncer délicatement sur sa verge dressée. Je restais ainsi immobile afin de ne pas précipiter son éjaculation. Avec cette pénétration statique, mon homme calmait sa trop grande sensibilité sexuelle. C’est seulement alors que j’entamais tendrement des mouvements du bassin. Lorsque l’excitation redevenait trop intense, je me remettais en position immobile toujours restant empalée sur son sexe. Je contrôlais ainsi la situation, même si cette position était assez fatigante, surtout pour mes lombaires. Ainsi nous arrivions à coordonner nos orgasmes lors du coït.
    
    Ce que j’aimais bien chez Stéphane, une fois que nous eûmes apprivoisé nos ...
    ... corps et réfréné nos pudeurs, c’est les multiples positions dans lesquelles il me prenait. Bien sûr, nous sommes passés par les positions les plus classiques : le missionnaire, la levrette et autres dérivés. Mais nous en découvrîmes bien d’autres.
    
    Ainsi j’aimais bien la position du Grand V où il était debout alors qu’il me couchait sur son bureau. Ainsi son membre était à la hauteur de ma vulve épanouie, prête à recevoir l’organe. Mes jambes étaient largement ouvertes, il me les maintenait ainsi, en enserrant mes chevilles dans ses mains. La vision de mes grandes lèvres humides et gonflées d’excitation lui procurait inévitablement une érection puissante. Il me pénétrait rapidement, presque violement, et lorsqu’il commençait ses mouvements de va-et-vient, c’était le bonheur absolu. Il allait profondément en moi, stimulant la moindre parcelle de mon vagin, avec son gland, il allait à gauche, à droite, en haut, en bas. Il plongeait dans ma grotte, puis remontait ma colonne à la limite de l’extraction. C’était absolument divin.
    
    Parfois, sans quitter mon sexe, il prenait la posture du crabe en repliant mes cuisses contre ma poitrine, mes pieds reposant sur ses épaules. Là aussi, la pénétration était profonde et le vagin divinement occupé. Par amusement, je montais mes jambes à la verticale, Stéphane prenait alors mes fesses pour affermir son mouvement de va-et-vient. Bien d’autres variantes pouvaient intervenir, mais il valait mieux regagner le lit, le bureau était assez ...