1. Le bac en poche


    Datte: 15/03/2019, Catégories: fh, ff, fbi, amour, pénétratio, couple, Auteur: Caval, Source: Revebebe

    ... hommes, il sera toujours temps de lui annoncer que tu aimes le naturisme et que tu voudrais qu’il vienne avec toi sur une plage ou dans un centre. S’il accepte, c’est gagné, s’il refuse, à toi de le persuader en usant de ton charme. Je compte sur toi. Mais un conseil pour l’instant, rappelle-le tout de suite avant qu’une autre fille prenne ta place.
    
    Je fis comme Mélanie me le conseillait et j’ai convenu d’aller chez lui pour un dîner. Dans mon esprit, le repas s’il allait être aux chandelles, la nuit serait peut-être moins romantique. Cela ne me faisait pas peur, au contraire, j’étais assez excitée de ce premier rendez-vous avec ce garçon et du fait de me retrouver seule chez lui.
    
    Quand j’arrivai, c’est une femme d’une cinquantaine d’année qui m’ouvrit. Je ne cachai pas ma surprise :
    
    — Bonjour, Je ne suis pas chez Stéphane.
    — Si, vous êtes Elodie ! Je suis la mère de Stéphane.
    
    J’étais chez les parents du garçon que j’avais rencontré et non pas dans sa garçonnière. Il y avait aussi son père, son frère, la copine de celui-ci et sa sœur. Toute une tribu au grand complet qui occupait deux étages de l’immeuble. Je fus vraiment accueillie à bras ouverts par toute la famille. Le repas n’avait rien de romantique comme je me l’étais imaginé, mais très agréable. Le champagne fut sorti, non en mon honneur, mais pour fêter notre réussite au bac. La soirée se passa ainsi, le flirt avec Stéphane ne dépassa pas le simple fait de me tenir la main, rien de plus. De toute ...
    ... façon, devant sa famille, cela m’aurait mis mal à l’aise de l’embrasser par exemple.
    
    Dans la soirée, il me proposa de me ramener chez moi en voiture. Je cachai mon étonnement, mais moi qui pensais « passer à la casserole » dès le premier soir, je ne m’imaginais pas que ce garçon puisse être si prévenant, si attentionné, sans pour autant que j’entre tout de suite dans son lit.
    
    Arrivés en bas de chez Mélanie, nous nous sommes embrassés à pleine bouche. Nos langues se mêlaient tout en nous pressant l’un contre l’autre. Mais rien de plus. Il me caressa le dos, mais ses mains ne se sont aventurées nulle part ailleurs, ni sur mes fesses, ni sur mes seins. Il y avait vraiment un sentiment de grande tendresse dans son attitude et dans sa façon de me tenir entre ses bras. Je ne l’invitai pas à monter.
    
    Mélanie m’avait bien recommandé de ne pas faire venir de garçon chez elle ; je respectai ses directives. De plus je préférais qu’il ne rencontre pas tout de suite ma logeuse. J’étais sa maîtresse et j’avais baisé avec son amant ; cela me gênait vis-à-vis de mon nouveau petit copain même s’il ne devait jamais l’apprendre. Peut-être y avait-il également dans mon esprit un sentiment idiot de jalousie ; comme si Mélanie risquait de me piquer mon mec.
    
    Elle fut très surprise de me voir revenir. Elle était installée, vêtue d’une chemise grande ouverte, affalée devant la télévision regardant un film porno. Sur l’écran une fille se branlait tendis qu’une autre se faisait prendre ...
«1234...10»