Le bac en poche
Datte: 15/03/2019,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
amour,
pénétratio,
couple,
Auteur: Caval, Source: Revebebe
... vigoureusement par un mec bien membré. Jetant un regard sur son entrejambe, je m’aperçus qu’elle avait commencé à se faire du bien.
— Tu es revenue ? Ça ne s’est pas bien passé ?
— Au contraire, très bien. Mais pas exactement comme je l’imaginais.
Je lui racontai donc le déroulement de la soirée et comment Stéphane m’avait raccompagnée très gentiment jusqu’en bas de notre immeuble.
— Tu ne l’as pas fait monter ?
— Mélanie, d’une part, tu m’as formellement interdit de faire venir des camarades chez toi, et d’autre part, tu as vu dans qu’elle tenue tu es. Tu imagines mon copain entrant dans l’appartement de ma logeuse et la trouvant à poil en train de visionner un film de cul et de se branler. J’imagine le tableau…
— Tu as raison. Ça te gêne que je sois nue comme ça et que je me branle devant un film de cul ?
— Mais non Mélanie pas du tout. Ce que tu fais dans ton appartement ne me gêne pas du tout, tu es chez toi : tu te ballades à poil, en petite tenue ou habillée, tu prends un ou plusieurs amants, tu regardes ce que tu veux, ça ne regarde que toi, tu es libre. Mais si jamais Stéphane venait ici, il faudrait respecter un minimum de décence.
Je regagnai ma chambre, quittai la belle tenue estivale, robe fleurie laissant apparaître un peu plus que mon cou (pas de décolleté profond tout de même) et remontant au-dessus du genou. Pour les sous-vêtements, j’avais un bel ensemble Aubade. Je suis une inconditionnelle de cette marque, puisqu’il faut bien s’habiller, ...
... qui allie beauté des modèles et robustesse (mon côté pratique). Puis, je gagnai la salle de bain pour prendre une douche. Lorsque je sortis de la salle d’eau, nue comme à mon habitude, l’appartement était totalement silencieux, aucune lumière n’était allumée. Mélanie semblait s’être couchée. Cela m’intriguait et je tendis l’oreille à la porte de sa chambre. Il me sembla percevoir comme des gémissements, mais ça n’avait rien à voir avec des geignements de plaisir. J’entrouvris la porte et dis :
— Ça ne va pas Mélanie ?
Je n’eus pas besoin de réponse. La lumière du couloir éclairant son visage, je vis qu’elle était en larmes. Je vins la retrouver dans son lit et je la pris dans mes bras. Cela eut pour effet de coller mon corps nu contre le sien. Elle me serra fort dans ses bras.
— Mais qu’est qu’il y a, pourquoi pleures-tu ?
— J’ai peur de te perdre. Oh, je sais que tu vas partir, que l’année prochaine tu ne seras plus là, mais j’ai cru tout à l’heure, lorsque tu m’as dit que je pouvais faire ce que je voulais chez moi, j’ai cru que tu ne voulais plus de moi, que tu m’oubliais que tu niais seulement tout ce que nous avions vécu ensemble.
— Mais pas du tout, ma chérie. Ce que nous avons vécu ensemble, je l’ai aimé, et cela restera dans mon cœur comme de merveilleux souvenirs. Stéphane va peut être devenir mon copain, je vais peut-être vivre avec lui, mais tu restes ma maîtresse attitrée, ma favorite. Les nuits que je ne passerai pas avec lui, c’est avec toi que le les ...