Le bac en poche
Datte: 15/03/2019,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
amour,
pénétratio,
couple,
Auteur: Caval, Source: Revebebe
... partagerai.
En parlant je commençais à lui caresser le corps, m’attaquant tout de suite à ses zones érogènes favorites que je connaissais bien. Elle m’embrassa avec fougue. J’avais réussi à la rassurer et j’étais totalement sincère dans mes propos : ma lesbienne favorite était Mélanie et nulle autre.
J’allais avoir deux navires, Mélanie pour des plaisirs m’emportant vers Lesbos et Stéphane pour m’emporter vers Cythère. Mais lorsque je prenais l’un des deux vaisseaux, je ne pensais pas trahir l’autre. Mes amours saphiques étaient une chose, mes amours hétérosexuelles en étaient une autre. J’aimais une femme, j’aimais un homme, les deux dans mon esprit se dissociaient totalement. Si j’avais dû avoir un autre homme en même temps que Stéphane, j’aurais eu l’impression de le trahir ; de même si je m’étais éprise d’une autre femme tout en restant avec Mélanie, j’aurais trahi ma maîtresse.
D’ailleurs je ne demandais qu’une chose à ma belle lesbienne : que Bernard ne soit plus mon amant. J’avais beaucoup appris avec lui, j’avais pris beaucoup de plaisir avec son sexe par tous mes orifices, mais je devais, à partir de maintenant, voler de mes propres ailes. De plus il était l’amant de Mélanie, pas le mien. Mes relations avec lui étaient amicales et sexuelles, nullement amoureuses.
Les caresses, les baisers, les frôlements, les léchages que nous nous sommes prodigués cette nuit-là, attestaient de la puissance de notre amour l’une pour l’autre. L’un des mes attouchements ...
... préférés entre femme, c’est lorsque nos sexes sont l’un contre l’autre et que nous nous massons ainsi le clitoris et les lèvres vaginales sans avoir à utiliser nos mains. Je savais que je n’aurais peut-être plus beaucoup l’occasion d’en profiter, aussi en ai-je abusé durant cette nuit d’amour, pour me complaire en cette jouissance, dans laquelle nous mêlions nos cyprines.
Le lendemain, je retrouvais Stéphane chez lui. J’avais choisi une robe encore plus estivale. Un tissu léger avec de fines bretelles, qui mettait bien en valeur mes épaules, le haut de mon dos et la naissance de mes seins. Elle remontait bien au-dessus du genou, laissant admirer le galbe de mes jambes. Comme à l’accoutumée, dans la rue, avec un tel vêtement, je me sentais gênée, impudique et agressée par certains regards qui se retournaient sur moi ou qui me dévisageaient. Son frère et sa sœur n’étaient pas là, seule sa mère se trouvait dans l’appartement. Après l’avoir saluée, Stéphane m’emmena vers sa chambre.
C’était une pièce assez spacieuse avec le lit au milieu, un bureau le long d’un mur et une petite salle d’eau attenante. Je m’assis sur le lit et il vint à mes côtés, m’embrassa très tendrement ; je lui donnais mes lèvres. Mais rien ne se passa de plus. Il faisait très chaud et j’aurais aimé qu’il ôtât mes vêtements, qu’il me déshabillât. Mais il ne faisait pas le moindre mouvement pour tenter de me dévêtir.
De plus j’avais très envie de lui. Je souhaitais sentir son corps contre le mien, sentir ...