Confessions d'une esclave sexuelle (8)
Datte: 15/03/2019,
Catégories:
Trash,
Auteur: Bison noir, Source: Xstory
... une chaise en face de mon bureau. Je me levais ensuite en marchant toujours de manière très aguicheuse pour faire le tour de mon bureau et fermer la porte à clé. Je m’approchais de lui, je passais mes mains sur ses épaules puis les faisais descendre lentement le long de son torse.
“ - Tu as couru pour être aussi essoufflé ? Il ne fallait pas te presser, nous avons tout notre temps pour régler ce petit problème” lui dis-je en rapprochant ma bouche au maximum de son oreille.
Aussitôt, il saisit mes mains, ce qui eut pour conséquence de me faire basculer le visage un peu plus dans son cou. Sa transpiration dégoulinait sur ma joue. J’avais déjà envie de vomir.
“ - Tu m’as chauffé toute la journée grosse salope. Je n’ai pas arrêté de penser à ça, tu m’as totalement perturbé à midi. Maintenant, tu vas recevoir ce que tu cherchais. Je vais te défoncer tous tes trous ! Tu vas prendre cher, crois-moi, tu ne vas pas être déçue !”
Il déposait mes mains sur sa bite qui commençait déjà à bien gonfler. J’en profitais pour défaire son bouton et ouvrir sa braguette. Carlos recula un peu sa chaise, me prit par le bras de toute sa poigne et m’ordonna de le sucer. A genoux, j’enlevai son pantalon et son slip. Une énorme touffe de poils recouvrait l’ensemble de son pénis, un véritable buisson. C’était ignoble. Il aurait fallu que je prenne mon courage à deux mains pour approcher ma bouche de sa queue, mais il ne m’en laissa pas le temps.
De toute sa poigne, il colla ma tête sur ...
... sa bite, et je n’eus que d’autre choix que de la prendre en bouche. Elle sentait le vieux saumon périmé depuis des mois. C’était une horreur. Rarement je n’ai senti une odeur pareille. Il fallait vraiment que je me concentre pour ne pas vomir, d’autant qu’il appuyait de plus en plus fort sur ma tête pour me faire descendre jusqu’au bout. Je n’avais d’autres choix également que d’avoir ses poils sales dans ma bouche. Sa bite était proportionnelle à sa carrure : grande et large. En soi, une très belle queue, c’était sûrement la seule qualité physique de ce garçon tant le reste était répugnant. Rapidement, il se mettait debout pour me baiser la bouche. Il y mettait toutes ses forces. Des gouttes de sa transpiration tombaient sur mon visage, comme de fines gouttes de pluie.
Soudain, je me rappelais : les photos ! Quelle idiote, cela faisait déjà une dizaine de minutes que je subissais les assauts de sa bite dans ma bouche et je n’avais même pas pensé à lui demander de faire des photos ! J’essayais de me dégager tant bien que mal de son emprise pour prendre la parole.
“- Huuum j’adore ta queue... Elle est tellement grosse ! Je n’en ai jamais vu une pareille ! Tu sais quoi, j’aimerais pouvoir en garder des souvenirs autres que dans mes pensées. Prends mon téléphone sur le bureau et prends des photos et vidéos. Cela me permettra de me toucher le soir en pensant à toi...
— Tu es vraiment la reine des salopes. Tu vas devenir ma bourrique, je vais te remplir tous tes trous de ...