1. Confessions d'une esclave sexuelle (8)


    Datte: 15/03/2019, Catégories: Trash, Auteur: Bison noir, Source: Xstory

    ... ainsi que mes collègues administratifs. Nous avions une très grande table, longue et large, ce qui faisait que quasiment toutes les personnes présentes pouvaient y manger dessus. Par chance, personne n’était assis en face de Carlos. Je prenais donc cette place. Il n’a quasiment pas touché à son assiette (ça ne lui faisait pas de mal) tant il était obsédé à me mater. De temps en temps, sa main droite quittait la table et disparaissait dessous. Je l’imaginais en train de se toucher. Cette situation me dégoutait et m’excitait en même temps. S’il n’était pas aussi laid, j’aurai certainement fait une flaque sur la chaise ! Mais bon... C’était Carlos ! Il était tellement concentré sur ma paire de seins qu’il fit tomber un moment sa fourchette au sol (volontairement ou non, je ne sais pas). En tout cas, lorsqu’il se baissa, je saisis l’occasion pour écarter en grand mes jambes afin qu’il ait une vue plongeante sur ma foufoune impeccablement épilée comme mon contrat le stipulé. Il mit du temps plus que de raison pour ramasser sa fourchette et pour se redresser, profitant au maximum du tableau qu’il avait devant ses yeux. Il se cogna d’ailleurs la tête contre la table en se relevant, ce qui eut pour effet de faire rire l’assistance. Moi, je lui lançais un simple clin d’œil bien plus aguicheur que celui du matin. Peu de temps après, vers 13h, Carlos et sa bande devaient repartir sur le chantier. On pouvait très distinctement apercevoir une grosse bosse entre ses jambes... La deuxième ...
    ... partie du plan avait fonctionné à la perfection, il fallait maintenant que je passe à la phase finale, celle qui serait de toute évidence la moins agréable.
    
    Vers 14h, je pris mon téléphone et appela Carlos sur son portable (du fait de mon travail, j’avais les numéros de tous les personnels de l’entreprise). Je lui parlais avec ma voix la plus sensuelle possible :
    
    “- Salut Carlos, c’est Marine... J’espère que je ne te dérange pas trop en plein effort...
    
    — Heu... Sa... salut Marine... Non non, tu ne me déranges pas du tout. Je peux faire quelque chose pour toi ?
    
    — Oui, tu peux faire quelque chose pour moi. J’étais en train de m’occuper de ta paie du mois prochain et il y a un petit souci. J’aimerais que tu passes le plus rapidement possible à mon bureau pour qu’on puisse régler cela ensemble. Tu peux être là quand ?
    
    — Un problème sur ma paie... ? Ecoute, je pose tout et je suis là dans même pas 10 minutes... A tout de suite
    
    — Parfait, à très vite mon Carlos”
    
    Mon Dieu... Vu comme je le chauffais, j’allais vraiment vraiment prendre cher... A partir du moment où j’ai reposé le téléphone, un immense stress m’envahissait ! Il n’a même pas fallu 10 minutes pour que Carlos toque à ma porte. “Entre Carlos, entre”. Ce gros porc avait sûrement couru pour arriver au plus vite. Il était complètement essoufflé et dégoulinant de transpiration. Le bureau empestait déjà de son odeur. L’heure qui venait allait être très certainement un calvaire. Je lui dis de s’asseoir sur ...
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