Confessions d'une esclave sexuelle (8)
Datte: 15/03/2019,
Catégories:
Trash,
Auteur: Bison noir, Source: Xstory
... dents, pour ce qu’il lui en restait, étaient jaunies par le tabac. Le summum de ce portrait infâme était son odeur nauséabonde. Il sentait un mélange de clope froide et de transpiration. Il ne changeait que très rarement de vêtements. Il avait vraiment une hygiène déplorable... Et dire que demain après-midi, ce répugnant personnage sera calé entre mes jambes à me défoncer... Rien qu’à cette pensée, j’avais envie de vomir. Je crois que j’aurai préféré encore que mon Maître me chie dessus plutôt que de devoir baiser avec lui. J’hésitais vraiment à dégainer le safe word mais je savais qu’il me punirait sévèrement pour cela, car je n’avais même pas essayé. Il fallait que je m’accroche à l’idée que cette situation allait énormément lui plaire et que je faisais ça, car j’adorais faire plaisir à mon Maître.
Le lendemain matin, j’effectuais donc le même rituel qu’expliqué dans mon précédent chapitre. J’avais enfilé ma minijupe noire très très moulante ainsi que mon haut blanc ultra-serré qui donnait l’impression que mes seins allaient exploser. Sur la demande de mon Maître, j’avais mis des talons (chose que je ne faisais jamais, j’étais du style jean/basket) et je m’étais maquillée plus qu’à l’ordinaire, insistant bien sur le rouge à lèvres. Après avoir déposé mon Maître à son travail, je prenais donc la direction du mien la boule au ventre.
A peine rentrée, il y eut une stupeur générale lorsque mes collègues me virent. Le bâtiment était conçu de telle sorte qu’en rentrant, il ...
... y avait un petit couloir. Sur la gauche, il y avait la cuisine où nous nous retrouvions pour manger, et sur la droite, un espace cosy de “détente” où nous faisions nos pauses café. Il fallait traverser cette pièce pour accéder ensuite à un autre couloir qui menait à nos bureaux. Quelques personnes étaient déjà présentes à ce moment-là, dont bien évidemment celui qui allait être mon bourreau dans quelques heures, Carlos. J’avais déjà la nausée rien qu’en le voyant avachi sur son fauteuil, café à la main. Il faillit s’étouffer avec en me voyant habiller ainsi. C’est bien l’effet que recherchait mon Maître en m’ayant habillée comme ça. Il y avait deux collègues de chantier à lui puis mes collègues Virginie, Samantha et Audrey. Je leur faisais la bise, les trois me dirent presque en cœur que j’étais magnifique aujourd’hui. Je les remerciais, et très vite, je devais penser au rôle que mon Maître m’obligeait à jouer. Je devais allumer Carlos. J’avais très peu de temps, car il démarrait son chantier d’ici 30 minutes. Il n’allait donc pas être là de la matinée. Généralement, comme le chantier était à quelques minutes du siège de l’entreprise, lui et ses collègues revenaient ici pour manger.
J’allais donc le revoir le midi à la cuisine puis il allait repartir travailler l’après-midi. Il fallait donc que je trouve un moyen qu’il soit présent un petit moment l’après-midi pour me baiser. Beurk... Après avoir discuté une ou deux minutes avec les filles, je me dirigeais vers mon bureau ...