1. Confessions d'une esclave sexuelle (8)


    Datte: 15/03/2019, Catégories: Trash, Auteur: Bison noir, Source: Xstory

    ... en tortillant bien du cul. Passant devant Carlos, je lui dis “Bonjour Carlos” avec une petite voix sensuelle et le plus beau sourire que j’étais capable de faire. C’était un deuxième choc pour le pauvre homme. Au mieux, il avait droit à un vieux signe de tête de ma part le matin en guise de bonjour. Il bégaya un “Salut” en me reluquant de haut en bas avec ses yeux lubriques. Je filais à mon bureau le cœur battant à la chamade de ce qui venait de se passer. Il fallait absolument que je prenne le dessus sur mes émotions, sinon la mission allait être un véritable échec et mon Maître ne me le pardonnerait pas. Je ne voulais pas le décevoir. Avant d’arriver à mon bureau, je passais comme tous les jours dire bonjour à mon patron. Là encore, il parut vraiment déboussolé et interloqué de me voir dans cette tenue. Je sentais qu’à lui aussi, je lui faisais de l’effet et je dois avouer que j’en tirais un certain plaisir. J’allumais mon ordi et commençais à lire mes mails. Je regardais bien l’heure, car il fallait que je repasse encore au moins une ou deux fois devant Carlos.
    
    10 minutes après mon installation, je retournais donc dans la pièce où Carlos était toujours présent avec ses collègues. Il n’y avait plus qu’eux. Je les entendais discuter et rire fort de l’autre bout du couloir. Dès que j’ai mis un pied dans la pièce, le silence fut instantané. Je n’étais que de passage, car je me rendais à la cuisine pour y déposer mon tupperware. A l’aller et au retour, les trois chiens me ...
    ... regardaient la bave aux lèvres. Au retour, Carlos se lança et me dit en bafouillant :
    
    “- T’es sacrément bon... heu... belle aujourd’hui Marine
    
    — Je te remercie du compliment mon Carlos, t’es plutôt pas mal toi aussi”, répondis-je avec un clin d’œil.
    
    Quelques mètres plus loin dans le couloir, j’entendais ses collègues lui dire : “putain la salope comme elle te chauffe mon gars ! Elle est en chaleur ou quoi ?? On dirait qu’elle cherche à se faire défoncer !” Puis des rires gras suivirent. Encore 10 minutes plus tard, je retournais à nouveau dans la pièce pour me faire couler mon café. Les gars étaient sur le départ. Carlos était le dernier à partir de la pièce. Il fallait le temps qu’il arrive à lever tout son poids du fauteuil et il était obnubilé par mon cul et mes seins, il n’arrivait pas à en détacher le regard. Je lui glissais doucement ces quelques mots : “Travaille bien mon Carlos et sois prudent sur le chantier, je ne voudrai pas qu’il t’arrive quelque chose. A tout à l’heure pour le déjeuner...” Bingo, j’avais déposé mes pions sur l’échiquier et je voyais bien que cet imbécile avait mordu à l’hameçon. Je commençais à prendre du plaisir dans ce petit jeu d’allumeuse. J’avais presque hâte d’être midi pour continuer ! Par contre, lorsqu’il faudrait passer réellement à l’acte, ça allait être une autre paire de manches...
    
    12h30, il était temps d’aller manger. Carlos et plusieurs autres de ses compères étaient déjà présents (ça devait bosser dur sur le chantier...) ...
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