1. Karim (2)


    Datte: 13/03/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Clar, Source: Hds

    ... mon matériel dans son dos, je retrousse ma jupe sur mes reins et tourne lentement sur moi-même. Puis je fais son soin, au revoir et à demain. C’est à peine s’il me répond. J’ai observé la pièce, je ne vois pas où quelqu’un pourrait se cacher.
    
    Vient le tour de Madame Desplanche. Profitant qu’elle somnole dans son fauteuil, je la contourne, attrape le pilulier, retrousse ma jupe pendant une trentaine de secondes, et lui donne ses médicaments qu’elle avale distraitement.
    
    J’arrive chez Monsieur Rocier. Il se lève et se tourne vers la glace avec un petit sourire. Je prépare son injection, m’accroupis, le visage à hauteur de son postérieur que je dénude en tirant sur son caleçon. Coup d’œil vers la glace, cette fois son sexe est à moitié découvert et il semble en semi-érection. « Attention, je pique ». Ce faisant, il ferme les yeux, j’en profite pour écarter largement mes cuisses. Coup d’œil dans le miroir, mon sexe est nettement visible. J’injecte rapidement le produit, je sais qu’il donne alors une sensation désagréable de brulure. Monsieur Rocier a les yeux fermés, il grimace, et sa verge semble avoir repris une dimension civilisée. Je referme les cuisses. Ma dignité est sauve !
    
    Puis, pour les patients suivants, la situation me permet, plus ou moins brièvement, de soulever ma jupe avant, pendant ou après les soins, sans que l’un d’entre eux puisse le remarquer.
    
    Bien entendu, l’après-midi, je me rhabille normalement.
    
    Le soir venu, je guette l’appel. Vingt-deux ...
    ... heures. « Bonsoir Madame l’infirmière. Ravissante, vous êtes ravissante. Merci de m’avoir, que dis-je, de nous avoir offert ce spectacle charmant. Bon, demain, vous allez mettre votre petite robe noire, vous savez, celle que vous mettiez le soir quand vous alliez vous faire sauter chez votre patient préféré. Bien entendu, bas, sans culotte ni soutien-gorge. Et quand vous aurez terminé votre soin, vous irez vous laver les mains dans la salle de bain. Ah et puis ne vous en faites pas, ils sont presque tous glaireux, ils n’y verront que du feu. Tant pis pour eux, ils rateront une occasion de bander »
    
    Bon, résumons, mon maitre chanteur a parlé de bander. Ce n’est donc pas une femme. Il me reste cinq patients. Non quatre puisque l’un d’entre eux a un rendez-vous à l’hôpital. Par contre, il faudra que je mette une veste car la robe est ultra-courte, au-dessus de la lisière des bas.
    
    Je commence chez Monsieur Loubec. Après ses soins, je lui dis que je vais me laver les mains dans sa salle de bain. Je passe devant lui, c’est à peine s’il me prête attention. C’est presque vexant !
    
    J’ai décidé de modifier l’ordre de la tournée, je ferai les hommes en premier, irait me changer et finirai par les femmes.
    
    Je vais chez Monsieur Rocier. « J’espère que vous serez plus douce qu’hier, j’ai eu mal toute l’après-midi » me dit_il.
    
    Il se lève, baisse son pantalon, descend son slip et se tourne vers la glace murale. Je constate que son sexe est presque entièrement dégagé. Un sexe lourd ...