Karim (2)
Datte: 13/03/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Clar, Source: Hds
Karim (2)
(Clotilde, infirmière libérale dans une petite bourgade de province, a entretenu durant quelques mois une liaison avec un homme qu’elle retrouvait parfois le soir, selon ses envies. Quelques temps plus tard, un mystérieux courrier lui révèle que leur liaison a été découverte et que des photos compromettantes ont été réalisées. Leur auteur menace de dévoiler ces photos si l’infirmière ne se soumet pas à sa volonté).
Que faire ? Pour le moment, je ne vois pas grand-chose d’autre à faire que d’obéir. Le jeu n’est pas bien méchant et je ne risque pas grand-chose. Avant d’aller me coucher, je choisis dans ma garde-robe une jupe verte qui tombe juste au-dessous du genou. Je mettrai des bas auto-fixant de couleur chair. Par contre, pas question que je m’exhibe devant mes patients.
La journée se passe, je ne fais même pas attention à ma tenue, veillant toutefois lorsque je m’accroupis à ne pas écarter mes jambes.
Le soir, le coup de téléphone attendu ne me surprend pas. « Bonsoir Madame l’infirmière. Sympa votre jupe verte. Pas assez courte à mon gré, mais ne grillons pas les étapes. Par contre, j’ignore si vous aviez des bas ou des collants. Demain, je veux pouvoir le voir ! Bonne nuit, Madame l’infirmière ». Comment veut-il que je lui montre mes bas ? Je ne sais même pas qui il est, où il est ? Je suis de plus en plus persuadée que ce n’est pas un des patients, sa voix ne correspondant à aucun autre. J’appelle mon mari pour faire le point de la situation ...
... avec lui. Il faut cibler et essayer de localiser le fameux Karim. Donc demain, je scinderai ma tournée en quatre, en changeant de jupe à chaque quart. Il me faudra juste me changer rapidement dans la voiture, ce qui n’est pas trop compliqué, il suffira que je m’arrête en bordure de forêt.
Le lendemain matin, je commence avec la jupe verte de la veille, puis en milieu de tournée, je l’échange contre une blanche, un peu plus courte. L’après-midi je mets une jaune puis termine avec une bleue. Et j’essaie discrètement de montrer la lisière des bas lorsque je fais certains mouvements. Cela reste bien entendu très furtif.
Le soir, le coup de téléphone attendu tarde un peu, mais à 22 heures, mon correspondant anonyme est là. « Bonsoir Madame l’infirmière. Je suis désolé de vous avoir fait attendre. Ah….. votre jupe…… quelle classe….. mais le blanc doit être bien salissant….. j’ai entre-aperçu …je crois bien que vous avez mis des bas…. Mais demain, montrez-moi plus, relevez votre jupe de façon à ce que je puisse voir vos si belles cuisses….. vous verrez, c’est très excitant….. tenez, pour vous remercier, je vous envoie une photo…bises ». Quelques secondes plus tard, je reçois une photo : je suis avec Paul, debout dans son salon, chemisier ouvert sur mes seins nus dont il titille un bout avec sa langue….
Mon voyeur fait donc partie des patients que je vois en deuxième partie de matinée. Cela correspond à huit possibilités. Le lendemain, je mets une jupe rouge et des bas couleur ...