Karim (2)
Datte: 13/03/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Clar, Source: Hds
... chair. Je ressens une excitation monter au fur et à mesure que je me rapproche des huit « finalistes ». Avant d’arriver chez le premier, assise dans ma voiture, je passe rapidement une main sous ma jupe, et insinue un doigt sous ma culotte. Je suis mouillée, excitée….
Le premier est un homme de quatre-vingts ans à qui il faut soigner une plaie ulcéreuse de sa jambe et mettre des bas de contention. Je m’accroupis au pied du fauteuil dans lequel il est assis. J’écarte mes cuisses pendant que je refais le pansement. Un coup d’œil vers lui, il……regarde l’écran de la télé…… et ne me prête aucune attention.
La deuxième est une octogénaire fatiguée à qui il faut préparer et donner ses médicaments. Je m’arrange pour faire tomber un comprimé et m’accroupis pour le ramasser, laissant passer quelques longues secondes avant de le retrouver.
Puis c’est au tout de l’injection de Monsieur Rocier, un artisan d’une cinquantaine d’années qui a déclaré une infection de la main. Timide, il se tourne pendant que je fais glisser son slip sur ses fesses pour faire la piqure. Je m’accroupis pour réaliser l’injection. Légèrement décalée, je m’aperçois qu’il est face à une glace. L’image me renvoie sa haute silhouette, son slip légèrement baissé laissant apparaitre la racine de son sexe, et moi, accroupie, les jambes disjointes, dévoilant mes cuisses jusqu’à la lisière des bas dont on voit nettement la couture. Excitée, j’écarte largement les cuisses, laissant voir ma culotte. Je laisse ...
... passer une bonne minute après l’injection, le temps que le produit diffuse. Je relève la tête, Monsieur Rocier a pris de belles couleurs et une bosse déforme son slip. Je me redresse, remonte son slip, range mon matériel et m’en vais en lui disant « à demain ». Je me traite de garce mais je me sens très excitée.
Aux cinq patients suivants, je recommence mon manège. L’excitation s’estompe un petit peu. Je finis la journée, troquant ma jupe contre un pantalon plus pratique.
Je rentre chez moi. Des huit, seul Monsieur Rocier a eu une réaction, mais c’est le seul qui a eu le loisir de me voir grâce à la glace.
Le soir venu, j’attends fébrilement le coup de téléphone. Mais rien. Je suis déçue.
Le lendemain, je reprends la tournée. J’ai mis un pantalon et des baskets, je me sens plus à l’aise pour travailler.
Le soir, à vingt-deux heures, coup de téléphone « Bonsoir Madame l’infirmière. Je suis très déçu par votre comportement. Ce n’est pas parce que je n’ai pas appelé que nos accords sont caducs. Pour la peine, demain, jupe, bas et pas de culotte. Et je veux voir ta chatte toute lisse. Sinon, tu sais de quoi je suis capable… ».
Il va me falloir être prudente. Je commence la matinée en pantalon, puis, avant d’arriver chez Monsieur Loubec, je m’arrête dans un chemin forestier, enlève pantalon et culotte et met une jupe qui s’arrête juste au-dessus du genou. Comme à son habitude, mon patient est absorbé par le feuilleton télévisé. Pas de risque qu’il me voit. Préparant ...