1. Transports routiers


    Datte: 13/03/2019, Catégories: fh, hplusag, grossexe, vacances, voiture, autostop, Oral 69, pénétratio, portrait, roadmovie, Auteur: Amarcord, Source: Revebebe

    ... l’amour par sympathie ni par pitié, Louise.
    — Qui te parle de pitié ? Tu crois que je ne suis pas sincère ? Que je suis une salope ?
    — Mais non, Louise !
    — Bon, je suis peut-être quand même un peu salope. Mais juste une gentille petite salope, alors. Une qui t’aime bien, et qui a envie, envie, envie. Envie que tu la baises.
    
    Ma voix se fit encore plus douce, le débit plus lent, le volume plus faible, proche du chuchotement, pendant que mon doigt traçait des courbes sur ses lèvres.
    
    — Elle sait même pas pourquoi, ça lui est venu comme ça. Elle a vingt ans, et toi près du double, et alors ? Et puis, oui, tu es comme tu es, mais ça lui va, elle te trouve même plutôt beau à ta façon. Donne-moi ta main : sens, sens comme elle est mouillée. Sens comme c’est doux. Sens comment ça doit être bon d’y fourrer ta bite bien raide. Est-ce que je peux être ta petite salope à toi, Bruno ? Juste une fois ?
    
    Bruno déglutit sans répondre.
    
    Je l’attirai sur la couchette étroite, déboutonnai sa chemise à carreaux, glissant mes mains sur son torse.
    
    — Tu vois, je suis velu comme un singe. C’est affreux.
    
    Je déposai de petits baisers sur sa poitrine.
    
    — Génial, c’est un de mes fantasmes !
    — Et mon gros bide…
    — Mignon comme tout.
    
    Je ris de plus belle.
    
    Je posai mes lèvres sur son épaule musculeuse et aspirai longtemps et avec force, lui collant un joli suçon. Je prenais bien soin, tout en poursuivant ma pluie de doux baisers sur sa peau, de laisser les pointes toujours ...
    ... durcies de mes seins dessiner des arabesques sur son torse.
    
    — Oh la la Louise, c’est pas possible, comment veux-tu que je résiste à ça ?
    
    Il s’était mis à rire lui aussi, en se débarrassant de sa chemise. Il était effectivement couvert de poils sombres : sur le torse, le ventre, les bras, les épaules, le dos. Et ça m’excitait à mort.
    
    — Tu me crois maintenant, Bruno ? Tu sais, j’ai envie de toi pour ce que tu es, pour la mélancolie qu’il y a dans tes yeux, pour ton sourire trop rare. Mais pas seulement. Tu m’excites, j’ai envie de sentir contre moi ton corps tout poilu, ton ventre rebondi. Jamais un athlète ne me fera cet effet.
    
    Je plongeai la tête vers le bas. Bruno protesta mollement tandis que je débouclai sa ceinture. Le bermuda disparut, me laissant face à un slip shorty en maille, tendu par un renflement énorme. Je tirai sur le sous-vêtement avec autant de conviction qu’il en avait mis à me déculotter. Gros Cube n’avait pas volé son surnom. Face à moi, deux cuisses étonnement musculeuses. Mes mains posées sur ses fesses les sentaient tout aussi galbées. Sous l’arrondi du ventre, sa verge était dressée, vigoureuse, impressionnante, au milieu d’une forêt de poils noirs et épais. Sa longueur était dans la bonne moyenne. Mais elle était incroyablement large, épaisse. Je ne pus m’empêcher d’avoir un moment de trac à l’idée d’introduire ce gros chibre dans ma petite fente. Mes mains soupesèrent ses couilles ridées et poilues, plutôt énormes elles aussi. Je perçus chez lui ...
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