Transports routiers
Datte: 13/03/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
grossexe,
vacances,
voiture,
autostop,
Oral
69,
pénétratio,
portrait,
roadmovie,
Auteur: Amarcord, Source: Revebebe
... des deux côtés, et l’abat d’un geste sur mes chevilles. Mon corps se raidit, je pousse un petit cri.
— Ne bouge pas, ne bouge surtout pas. Garde le silence.
Ses mains palpent mes fesses, d’abord avec douceur, puis de plus en plus fermement. Un doigt se glisse dans la raie de mon cul, poursuit vers l’avant, jusqu’aux plis de mon sexe.
— Oh oui,
— Shhht…
Le doigt multiplie les allers-retours, puis je le sens s’enfoncer très légèrement dans ma chatte, lui confirmant qu’elle est abondamment lubrifiée. Il s’arrête.
— Louise, je vais compter jusqu’à trois. À ce moment précis, je veux que tu te retournes.
— Un…
— Deux…
— TROIS !
Je m’exécute, les bras toujours posés sur la tête, lui offrant le spectacle de ma toison sombre surmontant l’ourlet de ma vulve.
— Ne me regarde pas. Les yeux droits devant. Garde cette position.
Par la fenêtre à peine entrouverte du passager, une guêpe venait de s’introduire dans la cabine, elle y tournoyait en vrombissant, ajoutant à la tension. Elle finit par se poser à la surface de ma poitrine, encore humide de sa salive. Je frémis.
— Tu as peur ?
— Je ne vais pas bouger.
— C’est ce qu’il y a de mieux à faire. Attendre.
Après d’interminables secondes, l’insecte finit par s’envoler, tournoya à nouveau, me frôlant dangereusement, puis se posa sur la paroi. Bruno, muni d’une de mes espadrilles, l’écrasa d’un coup sec et précis.
— Merci
— Pas folle, la guêpe. Elle avait choisi le plus joli des points de vue.
— Merci ...
... pour ça aussi.
— Louise, je ne suis pas en train de t’humilier. Je fais réserve de beauté pour la route. Je crois que je ne peux pas en charger davantage.
— Sers-toi sans compter.
— Écoute. Es-tu vraiment sûre de… Un mot de toi et tout s’arrête.
— Alors je vais garder le silence sans bouger.
Il me ramène sur la couchette, m’oriente vers lui, accroupi sur le plancher, il m’agenouille, écarte un peu mes cuisses. Il plonge son visage entre elles, et je sens bientôt sa bouche se refermer sur ma corolle, puis sa langue remonter, s’insinuant à la recherche de mon clito.
— Bruno…
— Attends, Louise, laisse-moi te parcourir, te respirer. Voilà ce que je vais faire, ma belle, je vais te caresser, te lécher, te sucer. Je te le promets, ce sera doux et tendre, une cérémonie à ta gloire. Tu es belle à damner, Louise, j’en ai le frisson, mais je ne peux pas te pénétrer. Tu es si jeune et fraîche, et moi, le Gros Cube… J’aurais l’impression de te souiller.
Je m’assieds sur la banquette, l’attire vers moi, caresse ses cheveux. Je lui parle tout doucement, presque en le berçant.
— Bruno… Qu’est-ce qu’il y a ? Pourquoi dis-tu des choses pareilles ?
— Je suis un type éteint, Louise. Éteint et moche.
— Oulala, mais c’est monsieur Gros Cube qui est de retour. C’est dommage, je venais juste de rencontrer Bruno le barreur. Il me plaît beaucoup, Bruno. Tu peux pas savoir. Je ne veux pas le blesser, je veux juste gonfler sa voile de fantaisie et d’un peu d’amour.
— On ne fait pas ...