1. Transports routiers


    Datte: 13/03/2019, Catégories: fh, hplusag, grossexe, vacances, voiture, autostop, Oral 69, pénétratio, portrait, roadmovie, Auteur: Amarcord, Source: Revebebe

    ... un moment de gêne. Alors je ne perdis pas de temps.
    
    Je suçotai ses bourses, puis fit remonter de petits baisers depuis la racine de sa verge, jusqu’au prépuce, que j’achevai de décalotter avec la langue. Je vis son gland, épais, charnu. Je donnai quelques coups de langue sur le frein.
    
    Il gémit. Je posai mes doigts fins sur sa grosse queue que je me mis à branler doucement, puis de plus en plus vigoureusement. Son membre était vraiment gros, il remplit bientôt tout l’orifice de ma bouche. Doucement je me mis à le sucer, intensifiant le pompage à mesure que je gagnais de la confiance et de l’expertise à gober un tel engin. Bruno aspirait l’air par saccades.
    
    Il se laissa sucer un bon moment, les yeux fermés, puis il écarta doucement mon visage de sa verge, il s’allongea, saisit ma taille, et me fit basculer, alignant à nouveau ma bouche face à sa queue gonflée. Son visage était fourré dans ma touffe. Bruno me donnait des instructions.
    
    — Écarte mieux tes cuisses, ma belle, je veux fouiller ta chatte au plus profond.
    
    Ses lèvres se portèrent vers mon clito, qu’il lapait et suçotait en alternance, en accélérant progressivement le rythme. Oh, le salaud, pour un type qui ne baisait plus, il savait s’y prendre. Le plaisir montait en vagues toujours plus intenses, qu’il pouvait déceler à partir des légers soubresauts qui commençaient à agiter mon bassin. Lui-même déployait avec toujours plus de difficulté des efforts pour retarder le moment de gicler sa semence. À un ...
    ... moment, il cria en me repoussant :
    
    — Arrête Louise, arrête, je ne vais pas tenir. Tu voulais me sentir en toi. C’est là que je veux te rejoindre.
    
    Nous nous redressâmes. Ma main caressait à présent sa queue avec douceur, mais c’était encore trop pour lui. Il réclama une pause, me serra dans ses bras, embrassant mon front, mes oreilles mon cou, mes lèvres. Puis il fit signe qu’il était prêt.
    
    Je pris alors ma position préférée. Tête et coudes collés sur la banquette, je dressai bien haut vers lui mon petit cul, en écartant les cuisses, offerte en levrette. J’avais un peu peur que la pénétration fut difficile ou douloureuse. Mais j’étais bien lubrifiée, et Bruno agit avec prudence. Sentir son gland se frayer un chemin dans mon vagin déclencha un long gémissement de ma part. Je l’encourageai à persévérer, et je reculai doucement mon cul. Sa grosse bite glissa dans ma chatte, puis s’enfonça jusqu’à la garde, je criai de plaisir. Alors il entreprit le va-et-vient, toujours plus puissant, déclenchant un concert polyphonique : le choc de son pubis butant sur mon cul, le bruit humide de sa bite ramonant ma chatte trempée, le contact de ses couilles sur mon bas-ventre, mes propres cris stridents l’invitant à pousser toujours plus fort, et lui répétant que j’allais bientôt jouir.
    
    — Louise, on peut tout se permettre ?
    — Tout
    — Même l’humour ?
    — Surtout l’humour
    
    Il changea de ton :
    
    — C’est ça que tu voulais, hein, petite salope ? Pas vrai ? Tu la sens bien maintenant, ma ...