1. Transports routiers


    Datte: 13/03/2019, Catégories: fh, hplusag, grossexe, vacances, voiture, autostop, Oral 69, pénétratio, portrait, roadmovie, Auteur: Amarcord, Source: Revebebe

    ... cette poitrine aux pointes durcies, si éloquentes, il s’enivrait de mes gémissements de plus en plus audibles, de chacun de mes frissons, et à travers mon short, je sentais son sexe gonfler contre mes fesses ; il bandait comme un taureau. Il se mit à parler sans interruption, comme s’il composait une ode à mon corps synchronisée à ses gestes. Ma nuque gracile lui donnait le vertige, mes épaules fines dessinaient une géométrie parfaite, mes seins étaient si doux, si fermes, c’était un privilège inouï que de pouvoir les soumettre, de pouvoir flairer leur parfum de cannelle, de sucer mes tétons chocolat si joliment formés. La tête renversée en arrière, je contrôlais de moins en moins mes petits cris, mes « ah », mes « oui », mes « encore », mes sursauts. Il revint se placer face à moi, ses mains remontèrent vers mes joues, les encadrant avec une douceur infinie, pour ramener mon regard vers lui.
    
    — Miss, je voudrais te demander… Est-ce que je peux t’appeler par ton prénom ?
    
    Mon visage déjà baigné de sueur s’éclaira aussitôt d’un grand sourire.
    
    — Bien sûr que tu peux ! Appelle-moi Louise, et caresse-moi. Ou appelle-moi Machine si tu préfères. Ou petite pute ou salope, mais caresse-moi quand même, et baise-moi. Et puis offre-moi ton nom, toi aussi. Je ne veux plus t’appeler Gros Cube. Pas ce soir.
    
    Son regard fuit un instant, avant de me revenir et d’acquiescer.
    
    — Louise… je… moi c’est Bruno. Mais c’est juste pour toi. Presque un secret.
    — Non, un cadeau.
    — C’est ...
    ... toi qui es un cadeau, Louise. Qu’aimerais-tu que je te fasse ?
    — Je voudrais que tu libères mes bras. Que tu me laisses t’embrasser, te sucer, caresser ton corps.
    
    Bruno eut l’air gêné
    
    — Non, laisse-moi faire.
    
    Il me saisit par la taille, me redresse, m’installe à genoux face à lui. Mes bras toujours prisonniers me font cambrer le buste, les seins tendus en offrande. Sa main fait glisser la fermeture éclair de mon short : il le baisse, m’aide à le dégager des genoux puis des pieds. Il plonge son visage entre mes seins, en suce les tétons, puis se met à les mordiller gentiment, m’arrachant un gémissement intense. Ma chatte est toute mouillée. Sa bouche descend le long de mon ventre, s’attarde au nombril, puis arrive à la limite de l’élastique.
    
    D’une main ferme, il me fait quitter la banquette, me place debout sur le plancher, les fesses tournées vers lui. Ses mains s’attardent sur mes jambes, remontent vers mes cuisses. Il s’arrête, réalise l’inconfort de ma position, toujours cambrée, et libère mes bras de l’entrave du chemisier. Il couvre mon dos de baisers, se blottit contre lui, emprisonne mes épaules, puis soupèse ma poitrine avec ses mains en corbeille.
    
    — Quelque part, c’est dommage, tu es tellement bandante dans cette position, tes seins magnifiques projetés vers l’avant. Mais fais-moi un plaisir, ne les couvre pas : place tes mains sur la tête. Et ne bouge pas.
    
    Je m’exécute. Un long moment de silence intervient. Brusquement, il saisit ma petite culotte ...
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