1. Transports routiers


    Datte: 13/03/2019, Catégories: fh, hplusag, grossexe, vacances, voiture, autostop, Oral 69, pénétratio, portrait, roadmovie, Auteur: Amarcord, Source: Revebebe

    ... souplesse ; il fallut du temps pour que cèdent, une à une, les fermetures et que s’écartent légèrement les pans du chemisier. Pas un mot ne fut échangé, mais il devina le volume de ma poitrine, et se rendit compte, à la voir se soulever en rythme, que mon émotion montait à l’unisson. Il m’interrogea d’un regard, qui voulait dire « tu es sûre ? ». Le menton relevé, un peu tremblante, j’acquiesçai d’un imperceptible mouvement, tout en formant de mes lèvres un oui muet.
    
    Sans quitter mon regard, il saisit les pans du chemisier, les écarta, les repoussa sur mes épaules. Puis il me plaça les bras derrière le dos, fit glisser le vêtement jusqu’aux coudes, comme pour m’entraver. Il se rapprocha encore un peu, et chuchota à mon oreille.
    
    — Je ne comprends pas pourquoi tu tiens à t’offrir à moi, Miss Kodak. Ta jeunesse éblouissante, mes trente-huit ans embourbés. Ta beauté presque cruelle. Ta taille fine, ton ventre plat, tes jambes élancées, mon gros bide, mes cuisses trapues. Tout ça ne colle pas, ma belle. N’importe quelle autre petite allumeuse que toi aurait déjà valsé de mon bahut. Mais il y a ton regard. Il me trouble, il me saisit la gorge, il me vrille l’estomac. Je ne vais pas chercher à comprendre. Alors oui, puisque tu te donnes à moi, je vais te cueillir.
    
    Ses mains cherchèrent alors l’agrafe de mon soutien ; elle céda sans opposer de résistance. Il se recula. Puis il fit choir les bonnets, révélant l’insolence de mes seins de vingt ans. J’avais déjà profité de ...
    ... quelques séances de bronzage en juin, au solarium de la piscine municipale. La pudeur du règlement y bannissait toute pratique plus audacieuse que le bikini. La trace du maillot créait un contraste évident entre le hâle de mon corps et la pâleur de ma poitrine. Et que dire de celui qui opposait son teint clair à la tache sombre de mes mamelons ? L’homme les contemplait, fasciné, presque apeuré. Je le priai à voix basse.
    
    — Caresse-moi.
    
    En cette fin d’après-midi, la chaleur était toujours intense dans la cabine. Une perle de sueur glissa de mon cou, et fila sur l’arrondi de ma poitrine. Il approcha son visage, la saisit entre ses lèvres, qu’il dirigea ensuite vers le mamelon. Il se mit à en tapoter la pointe avec la langue. Je me raidis et laisser échapper un petit cri aigu.
    
    ~~oOo~~
    
    Dans la cabine du Daf, Gros Cube me caressait avec un art consommé. Il s’était placé dans mon dos, couvrant mes seins de ses grosses paluches, les stimulant de mille façons. Il les soupesait, les effleurait avec douceur, avant de surprendre leur extrémité d’une chiquenaude. Mes tétons pointaient déjà vigoureusement, larges, protubérants, fermes, congestionnés par l’excitation. D’un doigt, il traçait le sillon entre mes seins, suivait leur courbe, recouvrait ensuite leur globe de ses doigts écartés, qui se rapprochaient bientôt en emprisonnant fermement mes mamelons, les palpant avec assurance. J’étais au comble de l’excitation.
    
    Gros Cube m’embrassait la nuque, il profitait du spectacle de ...
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