1. Transports routiers


    Datte: 13/03/2019, Catégories: fh, hplusag, grossexe, vacances, voiture, autostop, Oral 69, pénétratio, portrait, roadmovie, Auteur: Amarcord, Source: Revebebe

    ... grosse bite ? Tu sais que tu es belle, avec ton petit cul dressé, et tes nichons qui se balancent à chaque coup de bite ? Qu’est-ce que tu es bonne !
    — Oh oui, je la sens… tellement fort.
    
    Mes cris se faisaient hystériques.
    
    — Je suis ta petite salope ! Ta sale petite pute ! Bourre-moi plus fort ! Je veux que tu inondes mon trou !
    
    Bruno réagit :
    
    — Tiens, sale petite vicieuse, ça t’apprendra !
    
    Et il balança une claque magistrale sur mon cul.
    
    L’orgasme vint aussitôt, avec une puissance folle. Je hurlai un long cri rauque en m’effondrant sur la couchette, le corps secoué de spasmes. Bruno, la bite toujours droite et raide en main, semblait interdit par la violence du plaisir qu’il m’avait procuré. Frémissant sur la couchette, j’étais en état second, et la voix cassée, je l’attirai contre moi, répétant dans mes pleurs.
    
    — Tu m’as fait jouir tellement fort ! Je te voulais tellement !
    
    Lui me caressait la tempe, repoussait une mèche de cheveux trempés sur mon front, me calmait peu à peu, en me murmurant des « tout doux, tout doux ». Bientôt ma respiration redevint normale. Il couvrait mon ventre de doux baisers.
    
    Un vacarme se fit entendre autour de la cabine. Des mains frappaient sur la tôle, des cris et des rires s’élevaient en chœur, des faisceaux de lampes de poche déchiraient l’obscurité qui venait de tomber, et balayaient le pare-brise.
    
    — Alors, Gros Cube, on dirait que tu l’as bien défoncée, la petite salope ! Tu pourrais ouvrir les rideaux, ...
    ... qu’on en profite ! Ou nous inviter à bord, histoire qu’on la finisse par derrière.
    
    Bruno soupira, s’abstint de répondre aux commentaires et aux rires gras qui se poursuivaient. J’éprouvais de la honte. J’avais hurlé tellement fort ma jouissance que tout le parking en avait pris connaissance. Cachant mes seins de peur que ces hommes ne les aperçoivent, je baissai les yeux, n’osant plus le regarder. Il vint se blottir contre moi, passa ses doigts dans ma chevelure, me sourit.
    
    — Ne t’inquiète pas, ils ne peuvent pas te voir, les rideaux sont bien tirés. Ce sont des cons. Ils vont se fatiguer rapidement. Et tu n’auras même pas à les croiser au réveil. Je vais redémarrer, on va sortir de l’autoroute, rejoindre un relais routier un peu plus loin, sur la nationale. La patronne est une femme bien. Tu pourras prendre une douche chez elle. Quant à tes cris, tu n’as aucune raison d’en avoir honte. C’était bouleversant de te voir jouir avec autant d’intensité. J’en suis encore tout ébloui. Écoute mon cœur.
    
    L’oreille collée sur sa poitrine, je l’entendis en effet battre la chamade. Les hommes s’étaient éloignés, le silence était revenu. Comme pour ne pas le troubler, je lui parlai en chuchotant.
    
    — Mais on n’en a pas encore fini, nous deux
    — Comment ça ?
    
    Je posai ma main sur sa verge, qui avait perdu un peu de sa raideur.
    
    — C’est toi que je veux faire jouir, maintenant.
    
    Je posai un doigt sur sa bouche pour refuser toute réponse. Nos visages se faisaient face, mes yeux ...