Souvenirs de la découverte - Histoires de Sexe

Souvenirs de la découverte

... qu’elle portait : une paire de bas noirs transparents, dont les dix centimètres du haut était plus intenses, presque complètement opaques, une jolie dentelle à fleurs, l’extrémité du tissu s’arrêtant pas loin de la base du pubis.

Au-dessus, elle portait un string dont la majeure partie était dorée ; seule la partie supérieure, avec les attaches et le fil faisant le tour du bassin, était noire. Ce mince fil, d’ailleurs doublé, découpait des frêles hanches magnifiques, le noir contrastant avec la blancheur de l’épiderme. En remontant un peu, un grand ventre plat, avec un petit nombril à mi-hauteur, avant d’arriver à une petite ou moyenne poitrine a l’air assez ferme. Elle était recouverte d’un superbe soutien-gorge dans le même style que le string : noir pour les bretelles et la partie supérieure des balconnets, doré pour le reste. Entre les deux petites montagnes, une toute petite fermeture Éclair.

Son professeur lui tendit les mains, et alors qu’elle s’avançait vers lui, il s’assit sur le rebord du grand lit. Malgré le petit tempérament de cette élève qu’il connaissait depuis quatre mois et l’envie qu’elle manifestait, il comprit que son expérience était aussi élevée que son hésitation dans ses gestes. Il prit conscience qu’il serait donc son formateur dans un autre domaine, moins conventionnel.

Elle debout, lui assis, les embrassades commencèrent. Elle respirait fort, mais lui aussi, devant ce diamant. Lui levait la tête vers elle pour l’embrasser, elle faisait ...

... l’inverse. Il avait le visage au niveau de la poitrine de la belle.

Ses mains parcouraient déjà son dos, et le firent pendant bien cinq bonnes minutes. Il sentait les petites mains de Marie derrière sa tête. Au bout d’un moment, délicatement, il commença à alterner baisers sur les lèvres et dans le cou. À chaque fois qu’il quittait sa bouche pour embrasser plus bas, il descendait ses petits bisous un peu plus au sud. À force, au bout de plusieurs minutes de tendresse, il arriva entre les seins, arracha un minuscule soupir à Marie qui respirait de plus en plus fort. Il continua ses petits baisers, du bout des lèvres, sur la peau de porcelaine lisse. Les mains étaient toujours dans le dos de la femme, mais il se retenait pour ne pas empoigner ce corps magnifique.

Mais il voulait passer un peu à l’action doucement. Il finit par redresser la tête vers elle pour marquer une pause et, comme à chaque fois, pour ne pas la brusquer, lui laisser le temps. Mais il n’eut pas à se lancer. En effet, après quatre secondes à se regarder en silence, elle se recula de quelques centimètres et, respirant toujours aussi fort, elle porta sa main droite entre ses seins sur la fermeture Éclair qu’elle baissa lentement, mais de manière décidée. Elle se contenta de déverrouiller l’accès. Les deux balconnets s’écartèrent à peine l’un de l’autre, et très légèrement de la poitrine qui restait cachée.

Ce fut alors l’homme, qui reprenant sa respiration, son sexe dur cloîtré dans son pantalon, qui ...