1. Cette si merveilleuse femme (1)


    Datte: 12/03/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: charimarien, Source: Xstory

    ... mes cuisses, maman me lit leurs journaux. Ceux que mon père écrivait comme docile soumis ou, comme pervers bourreau et ceux de la vicieuse dominatrice ou de la docile soumise. Cela dit, rien à voir avec le magasin ou les w.c. de ce bistrot de quartier, cela restait dans la villa, bien caché du reste du monde. Mais là, j’écoute, bois cette lecture, cette douce voix qui me conte leurs aventures rocambolesques, merveilleuses. De ce récit, j’en retire une chose, je ne connaissais pas mes parents aussi bien que je le supposais. Si maman ne me lit pas tout, c’est mes caresses, mes baisers enflammés la distraient. Je l’emporte dans notre lit, la couche, l’aime de mes mains, de ma bouche. Son corps se tord sous mon joug amoureux. Il se cambre quand l’orgasme le dévaste. Il s’apaise quand le sommeil le prend, comme par surprise. Je me colle à lui, l’enlace, le borde et me laisse convaincre par le sommeil qui me guettait.
    
    Déjà quatre jours que je vis un rêve en compagnie de la femme de ma vie, ma mère. Aucun remords, nous avons, aucun regret n’encombre nos pensées. Si, un, pourquoi seulement maintenant. Peu à peu, je reprends les guides de l’entreprise informatique créée par mon papa. Peu à peu, je ne sors des bras lascifs de maman que pour prendre l’air en sa compagnie, visiter nos clients en amoureux, transis de bonheur. Peu à peu, je délaisse ce monde fait d’hypocrisie, de lois stupides, injustes. Notre amour est sans partage, sans nuages. Si personne ne sait, personne n’a à ...
    ... le savoir. On dit que pour vivre heureux, il faut vivre caché. Et pourtant, c’est tout le contraire que nous faisons.
    
    Cela dure jusqu’à cette soirée. Maman et moi étions invités au vernissage d’une jeune artiste. Deux magnifiques années d’un pur bonheur s’étaient déjà écoulées. Alors que nous faisions le tour de l’exposition, je me suis arrêté devant une toile superbe. Elle représente une pelouse avec une piscine devant une villa. Sur l’herbe, un couple semble s’aimer. Maman n’a pas loupé la chose, la maison est la nôtre, idem pour la piscine. Il ne manque aucun détail, même le saule pleureur figure sur cette huile. Maman avise le commissaire de l’expo qui lui montre l’artiste, une jeune femme de mon âge, un poil plus de vingt ans. Il s’en va la chercher, nous la ramène.
    
    — Cette dame vous demande où vous avez peint cette toile.
    
    — Bonsoir, dans mon atelier, sans aucun modèle.
    
    — En êtes-vous certaines ?
    
    — Oui, je peins souvent sans modèle. Je ne peins presque jamais à l’extérieur, certaines choses peuvent distraire l’idée que j’ai en tête.
    
    — Regarde, il y a même le chien de nos voisins.
    
    — C’est votre maison ? nous demande la jeune peintre.
    
    — Oui, Mademoiselle. Cela dit, nous voudrions que vous veniez chez nous avec cette toile et vous pourrez juger de la précision de votre œuvre. Voici ma carte.
    
    — Merci, je viendrai. Oui, je vais venir.
    
    On se quitte ainsi. En sortant, je devine son regard posé sur nous quand, à peine dans la rue, j’embrasse maman ...
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