Cette si merveilleuse femme (1)
Datte: 12/03/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: charimarien, Source: Xstory
... faire un ragoût, sa cuisson surtout. Alors je remonte en attendant que cela soit cuit à la perfection. Je viens encore agacer les sens, les désirs de maman. Je découvre de petites pinces munies de petits grelots. Je les suspends aux épais mamelons. Les pinces ne sont pas très puissantes, juste ce qu’il faut pour qu’elles tiennent en place. Au cou, je glisse ce fin collier. Je bande juste devant la bouche de maman, mon sexe effleure ses lèvres et le voilà qui s’enfonce dans cette bouche. Cette bouche qui me suce, me lèche, me pompe mon pénis avec la vigueur que lui permet ce carcan. Je ne fais rien pour retenir mon plaisir. Je fais même tout pour jouir au plus vite. Et quand cela arrive, je lâche tout sur ce visage, dans cette bouche, tout ce qui me reste dans mes testicules.
Sans toucher son corps, je la vois jouir de se sentir salie par son propre enfant. Elle me l’avoue, me le proclame.
Délivrée, je la transporte dans mes bras, la dépose sur une confortable chaise. Elle pousse un petit cri au moment de toucher l’assise, je n’ai pas retiré le gode. Alors que je veux le lui enlever, sa main m’en empêche, sa bouche dépose un merveilleux bisou sur le dos de ma main. Son assiette pleine, je la regarde goûter, attendant son avis, celui de celle qui m’apprit à faire la cuisine, ses excellents petits plats. Sa main sur ma cuisse, ses doigts qui la pressent, sa tête qui se renverse en arrière, sa langue qui lèche ses lèvres, son regard qui plonge dans le mien, ce merci qui se ...
... colle à ma bouche langoureusement sont autant de compliments. Son corps collé au mien, cette main qui me donne la béquée, ce sourire qui me rappelle tous ses sourires qui ont jalonné ma vie, c’est autant de merveilleux moments que ceux que je vis à cet instant, ils iront garnir et embellir mon jardin des souvenirs.
Plus tard, nous faisons la vaisselle. Dans un mouvement brusque, elle me plaque ma poitrine sur le plan de travail, me fesse. Je m’abandonne à l’autorité sensuelle de ma mère. Elle fesse comme on caresse. Puis, sans me prévenir, c’est avec le manche d’une petite spatule qu’elle force mon anus. Je jouis de sa violence amoureuse. Je jouis d’autant plus fort que mon corps glisse au sol, vaincu, terrassé. Je me surprends à aimer ses jeux, ceux-là, même qui se déroulaient dans la pièce du premier entre mon défunt père et son épouse chérie. Je veux bien être son docile si elle devient ma docile. Cela dit, son baiser entre mes épaules, cet aveu qu’elle glisse dans un murmure à mon oreille, c’est comme si... J’ai beau chercher, une fois encore, les mots me manquent.
— Viens, j’ai encore quelque chose à te montrer, mon chéri.
— Si tu me racontais cette chambre au premier.
— Justement, c’est en haut, bien caché. Tout y est, mon journal de petite dévergondée, ainsi que le journal d’un vicieux pervers, mais aussi d’un docile petit compagnon, tu comprends.
— Oui, vous jouiez une mi-temps dans chaque camp.
— Et on adorait ça, mon amour.
En haut, assise sur ...